English below. La Voie c'est la pratique des quatre piliers, l'Observance de l'agya. Un des piliers est la méditation, qui possède quatre techniques particulières. Ce texte parle de ces quatre techniques montrées lors de la Révélation. Cette Révélation des techniques doit-être demandée. Elle se fait par Skype et dure plus ou moins deux heures.

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Le blog où se trouvent les satsang est ici
Résumé :
La méditation formelle, profonde de La Voie est un des quatre piliers de sa pratique. Les trois autres sont le satsang, le service et les angas.
Pour méditer, l'initié à La Voie dispose de quatre techniques qui lui permettent de prendre de la distance avec les activités du mental. Certaines de ces techniques ne peuvent se pratiquer qu'assis, comme la musique (ou le son, "Nada") et la lumière. Une technique peut se pratiquer assis et peut aussi se pratiquer tout en faisant ce que l'on a à faire, c'est la technique dite du « Saint-Nom ». Le service (non-agir ou Wu Wei de Lao-Tseu), un des piliers de la pratique, est de faire ce que l'on fait, tout au long de la journée, en pratiquant cette technique.
La dernière technique ; celle du Nectar se pratique durant la journée, hors des temps de méditation formelle, soit seule, soit en même temps que la technique dite du Saint-Nom. En méditant avec la technique dite de la lumière, on peut voir briller de la Lumière derrière l'écran de ses paupières fermées. En méditant sur la musique, on peut entendre des sons mélodieux dans son oreille droite. La technique du Saint-Nom permet de se concentrer sans avoir à prononcer un mantra ou à faire une posture particulière, ce qui permet de l'utiliser tout au long de la journée.
Aucune de ces quatre techniques n'est une posture du corps, ni un mantra. Elles sont plutôt, pour deux d'entre elles (la lumière et la musique), des mudras, mais pas de ces mudras symboliques, esthétiques utilisés dans la danse. Ces mudras sont des « gestes » efficaces pour voir la lumière et entendre la musique (ou « les sons », Nada), en soi, en retournant ses sens. Ces techniques sont révélées à ceux qui en font la demande.
« Par la méditation et le service,
tu réalises le Saint-Nom. »
Bhaktimàrga 215
Les quatre techniques
révélées
Les quatre techniques révélées sont les techniques de méditation de La Voie. La Voie ne se peut pas sans méditation, qui est un des quatre piliers de sa pratique, l'agya (sadhana).
Chercher à être indifférent aux variations du mental
est plus réaliste que de chercher à empêcher les pensées,
car on ne peut empêcher le cerveau de penser, de rêver.
Tant qu'il est vivant, il fonctionne.
Ce qu'il s'agit de faire, par la méditation, c'est de cesser de se concentrer sur ces variations, sur les pensées, les émotions, le ressenti, cesser de leur accorder de l'importance, de s'identifier à elles. La méditation, c'est donc se concentrer sur un « objet de méditation » pour se déconnecter de ses pensées, ne plus se laisser aller aux émotions. Quand cet objectif est atteint, il y a établissement, installation dans la conscience de sa vraie nature (dhyana et samadhi) :
'' Par cela le pratiquant s'établit
dans la paix de sa nature essentielle. ''
Yogasûtra, aphorisme I.3
Le but de la méditation est la réunion, la focalisation de sa conscience en une unité cohérente, c'est-à-dire quitter la dualité, ce qui fait, par effet induit, disparaître les causes de la souffrance (dukkha).
'' Le but de la pratique
est de gommer les causes fondamentales de la souffrance
et, par la contemplation, d'amener au repos ''
Yogasûtra, aphorisme 2.2
Du temps de Patanjali, le mot "yoga"
ne voulait pas dire « union », mais « repos » et « liberté ».
Le moyen, pour accéder à ce repos, à cette liberté, est le lâcher-prise dans la contemplation. Cette contemplation doit être juste, autrement dit le regard, la vision contemplative doit être juste et l'objet de la contemplation doit l'être aussi, il doit être le bon objet de contemplation. Selon le Yogasûtra, tous les objets, servant à se concentrer, ne se valent pas. C'est ce que dit l'aphorisme 26 du livre 2 : ''L'ignorance est vaincue par une vision juste.''
Le moyen d'accéder à cet abandon (hàna), à cette union est la juste contemplation ou contemplation (khyàti) discernante (Viveka : discernement) ou contempler avec le bon regard, autrement dit, avec l’œil, le regard intérieur.
Pour méditer de la bonne façon, il est nécessaire d'avoir deux postures correctes, une extérieure, celle du corps et une intérieure. La bonne posture du corps doit être confortable, stable, facile afin de pouvoir être tenue longtemps. C'est d'ailleurs la seule fois où il est question de posture dans le Yogasûtra. C'est ce que dit le sûtra 46 du livre 2 : « Sthirasukhamàsanam : La bonne posture pour la méditation, est ferme, confortable, facile et agréable. »
De nombreux livres considérés comme sacrés parlent de ça, d'ailleurs un texte l'explique très bien, ici : "méditation sur le souffle". La méditation demande une certaine posture intérieure et des aptitudes particulières.
Ces aptitudes sont d'ordre spirituel : une bonne disposition et une bonne orientation mentale, c'est-à-dire un réel intérêt pour ces choses, une vision de ce qui est essentiel, une immobilité complète (maîtrise du corps), une certaine pureté, sincérité des motivations et une soif d'unité… C'est-à-dire une prédisposition venant de l'évolution de l'âme par ses différentes incarnations.
« Sattvasuddhisaumanasyaikàgratendriyajayàtmadarsanayogyatvanica : quand le corps est nettoyé, l'esprit purifié et les sens contrôlés, vient la conscience joyeuse nécessaire à la pleine réalisation. » (yogasûtra 2.41)
La Voie n'est pas qu'une méditation, elle est un ensemble de pratiques (les quatre piliers) ou agya. La méditation est un des piliers. Cette méditation, sans posture du corps, est intérieure. Il n'y a pas de support extérieur pour se concentrer, comme un mantra, une lumière extérieure, des mandalas, une pensée, pas plus qu'une visualisation de "déitées", etc.
La méditation de La Voie dispose de quatre techniques révélées, aux chercheurs qui en font la demande. Ces techniques sont très anciennes.
Des livres comme le Yogasûtra, la Gheranda Samhita, la Dhyanabindu-Upanishad, la Yogatattva-Upanishad en parlent depuis très longtemps. Aucune explication précise n'est donnée à ce propos dans les publications de La Voie : ces quatre techniques ne sont montrées qu'aux chercheurs qui le demandent. Ces techniques sont si puissantes qu'elles ne peuvent être pratiquées par simple curiosité.
Ces quatre techniques sont :

-Le Saint-Nom, la lumière, la musique et le nectar
Le yogasûtra parle
de la technique de la lumière
dans ces deux sûtras :
3.25 : « Se projeter, par la méditation, dans la lumière intérieure, donne la connaissance des subtilités cachées, proches et distantes. »
3.32 : « Méditer sur la lumière intérieure fait connaître la perfection. »
La méditation sur la lumière du Saint-Nom donne la juste vue (la vision, le discernement des éveillés).
« La méditation profonde ne se peut
qu'après la Révélation du Saint-Nom,
de la lumière et de la musique »
Bhaktimàrga 322
Les autres techniques
Les autres techniques sont décrites, non révélées, dans les livres cités plus haut, à différents chapitres. Encore une fois, ces techniques ne sont révélées qu'à ceux, à celles qui en font la demande expresse.
Pour ce qui est
de la technique du Saint-Nom
il est possible d'ajouter :
« La méditation sur ce son qui se répète
est la méditation sur Dieu. »
Yogasûtra, I.28
La répétition de Son Nom, "japa", ne signifie pas, contrairement à ce qui est communément admis, de réciter Son Nom... répéter un mantra. Quel serait ce nom ? Ôm ? Hang-so ? Yahvé ? Allah ? Japa veut dire : "son qui se répète", mais il le fait tout seul !
Ce nom est ce que, sur La Voie,
nous désignons par le mot composé : " Saint-Nom "
ou Verbe ou Satnam ou Kewali-Kumbhak .
Il n'est pas possible de l'écrire ni de le réciter,
mais on peut l'entendre et l'écouter
quand on sait comment faire.
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La révélation, de ce Nom, est un des enseignements de la Révélation, passage obligé, initiation pour devenir pratiquant. Ce Nom a plus à voir avec le souffle qu'avec un mot, un nom.
La respiration consciente, le prànàyàma, a à voir avec la technique du Saint-Nom, une des quatre révélées, même si ces précisions ne vous permettent pas de connaître la technique. Elle est expliquée de vive voix pour ne pas induire en erreur ni provoquer de confusion.
« Le Saint-Nom ne peut se dire,
l'écouter c'est entrer en béatitude »
Ce Nom, dans la répétition duquel, il s'agit de s’abîmer, est porté par le souffle et, quand on nous a montré comment faire, il est possible d'écouter attentivement sa répétition. Il se répète sans besoin de notre intervention. Il suffit de l'écouter et de se laisser absorber.
La musique
est appelée Nada
La technique de la musique est appelée Bhramari, dans la Gheranda samhità, un des trois textes classiques du Yoga, composé par Gheranda au XVIIᵉ siècle. Le fait de pratiquer cette technique est le "Nada-Yoga".
Il arrive que des disciples ne puissent pratiquer cette technique de façon correcte, à cause de problèmes physiques, ce qui induit un manque d'expérience dans cette méditation. Ce n'est pas un problème fondamental, car les quatre techniques sont les quatre pentes d'une même montagne, dont le sommet est l'approfondissement de sa conscience. Si le disciple ne peut pratiquer cette technique, il ne pourra pas pratiquer ce " Nada-yoga ".
Ce qui compte, sur La Voie, plus que chacune des quatre techniques, c'est l'ensemble de la pratique, les quatre piliers. Il y a le service, le satsang et les angas qui comptent tout autant et dans le satsang l'enseignement délivré par le maître vivant.
D'autres disciples peuvent avoir d'autres problèmes, du même ordre que ceux décrits plus haut, à propos de la musique, mais qui touchent, cette fois, la perception de la lumière intérieure. Ils ont toujours le Saint-Nom et la musique. L'important, encore une fois, c'est de rassembler en son centre la conscience de manière à percevoir la Grâce.
« L'Un est nectar, lumière, musique,
les deux sons du souffle et, dans l'Homme,
la soif de vérité et l'aptitude à se donner. »
Bhaktimàrga 17
L'aphorisme suivant
Yogasûtra, I.29 : « En conséquence les obstacles disparaissent et vient la pleine conscience ». Cet aphorisme dit ce que procure ce lâcher-prise, cette méditation profonde sur le Saint-Nom. La pratique de La Voie, cela a été écrit plus haut, se compose de quatre piliers et la méditation est un de ces piliers. Parmi ces quatre piliers, il y a le service qui est le non-agir du Tao-Te-King et le service de dévotion du chant de l'éveillé (ou Bhagavad-Gîtâ).
Deux des quatre techniques se pratiquent seulement assis, au « secret » de sa chambre de méditation : la musique et la lumière. Deux autres de ces techniques se pratiquent assis et tout en vaquant à ses affaires ; le Saint-Nom et le Nectar. C'est grâce à cette faculté d'être pratiquées assis et en action que le non-agir est possible, le service.
Si vous désirez être initié à ces quatre techniques
vous devez en faire la demande
afin de recevoir la Révélation.
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e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com
Techniques
Summary:
The formal, deep meditation of The Path is one of the four pillars of his practice. The other three are satsang, service and angas.
To meditate, the initiate in The Path has four techniques that allow him to distance himself from the activities of the mind. Some of these techniques can only be practiced sitting down, like music (or sound, “Nada”) and light. A technique can be practiced sitting down and can also be practiced while doing what we have to do, it is the technique called «Holy-Name». The service (Inaction or Wu Wei from Lao-Tzu), one of the pillars of practice, is to do what you do, throughout the day, by practicing this technique.
The last technique; that of the Nectar is practiced during the day, outside of the time of formal meditation, either alone or at the same time as the technique called of the Holy-Name. By meditating with the so-called technique of light, one can see shining Light behind the screen with his closed eyelids. While meditating on the music, you can hear melodious sounds in your right ear. The Holy-Name technique allows you to concentrate without having to pronounce a mantra or make a particular posture, which allows you to use it throughout the day.
None of these four techniques is a body posture, nor a mantra. They are rather, for two of them (light and music), mudras, but not of these symbolic mudras, aesthetic used in dance. These mudras are effective “gestures” to see the light and hear the music (or “sounds”, Nada) in itself, turning its senses. These techniques are revealed to those who request them.
“Through meditation and service,
you realize the Holy-Name.”
Bhaktimàrga 215
The four techniques
revealed
The four techniques revealed are The Path meditation techniques. The Path cannot be possible without meditation, which is one of the four pillars of its practice, the agya (sadhana).
Seeking to be indifferent to mental variations
is more realistic than trying to prevent thoughts
because you can’t stop the brain from thinking, dreaming.
As long as he’s alive, he works.
What we need to do, through meditation, is to stop focusing on these variations, on the thoughts, the emotions, the feeling, stop focusing on them, stop identifying with them. Meditation is, therefore, focusing on a «meditation object» to disconnect from one’s thoughts, no longer letting oneself go to emotions. When this goal is achieved, there is establishment, installation in the consciousness of its true nature (dhyana and samadhi):
“By this the practitioner is established
in the peace of its essential nature.”
Yogasûtra, aphorism I.3
The purpose of meditation is the reunion, the focusing of one’s consciousness into a coherent unity, that is, leaving duality, which causes the causes of suffering (dukkha) to disappear by induced effect.
“The purpose of practice
is to erase the root causes of suffering
and, by contemplation, bring to rest.”
Yogasûtra, aphorism 2.2
In the days of Patanjali, the word “yoga”
did not mean “union”, but “rest” and “freedom”.
The Path to access this rest, this freedom, is to let go in contemplation. This contemplation must be right, in other words the gaze, the contemplative vision must be right and the object of contemplation must also be right, it must be the right object of contemplation. According to the Yogasûtra, not all objects, used to concentrate, are equal. This is what aphorism 26 of book 2 says: “Ignorance is overcome by a just vision.''
The Path to access this abandonment (hàna), this union is the just contemplation or discerning contemplation (khyàti) (Viveka: discernment) or contemplating with the right gaze, in other words with the eye, the inner gaze.
To meditate in the right way, it is necessary to have two correct postures, one exterior, that of the body and one inner, moral. Good body posture should be comfortable, stable, easy to hold for a long time. This is also the only time that there is a question of posture in the Yogasûtra. This is what the sûtra 46 of book 2 says: “Sthirasukhamàsanam: The right posture for meditation, is firm, comfortable, easy and pleasant.”
Many books considered sacred speak of this. Meditation requires a certain inner posture and special abilities. These abilities are spiritual: a good disposition and a good mental orientation, that is, a real interest in these things, a vision of what is essential, a complete immobility (control of the body), a certain purity, sincerity of motivation and a thirst for unity… That is, a predisposition from the evolution of the soul through its different incarnations.
“Sattvasuddhisaumanasyaikàgratendriyajayàtmadarsanayogyatvanica: when the body is cleansed, the mind purified and the senses controlled, comes the joyful consciousness necessary for full realization.” (yogasûtra 2:41).
The Path is not just a meditation, it is a set of practices (the four pillars) or agya. Meditation is one of the pillars. This meditation, without body posture, is inner. There is no external support to concentrate, such as a mantra, an external light, mandalas, a thought, no more than a visualization of “deities”, etc.
The meditation of The Path has four revealed techniques, to researchers who request it. These techniques are very old.
Books like Yogasûtra, Gheranda Samhita, Dhyanabindu-Upanishad, Yogatattva-Upanishad have been talking about this for a very long time. No precise explanation is given for this in the publications of The Path: these four techniques are shown only to researchers who request it. These techniques are so powerful that they cannot be practiced out of mere curiosity.
These four techniques are:
The Holy Name, the light, the music and the Nectar. The yogasûtra speaks of the technique of light in these two sûtras:
3.25: “To project oneself, through meditation, into the inner light, gives knowledge of the hidden subtleties, close and distant.”
3.32: “Meditating on the inner light makes perfection known.”
Meditation on the light of the Holy-Name gives the right view (vision, discernment of the awakened).
“Deep meditation cannot be
that after the Revelation of the Holy-Name,
of light and music.”
Bhaktimàrga 322
The other techniques
The other techniques are described, undisclosed, in the books cited above, in different chapters. Once again, these techniques are only revealed to those who expressly request them. As for the technique of the Holy-Name it is possible to add:
“ Meditation on what sound is repeated
is meditation on God.”
Yogasûtra, I.28
The repetition of His Name, “japa", does not mean, contrary to what is commonly accepted, to recite His Name… to repeat a mantra. What would that name be? Me? Hang-so? Yahweh? Allah? This word, Japa, means: “his who repeats himself”, but he does it alone!
This name is what, on The Path,
we designate by the compound word: "Holy-Name"
or Verb or Satnam or Kewali-Kumbhak .
It is not possible to write it or recite it,
but you can hear and listen
when you know how.
Revelation, of this Name, is one of the revelations of Revelation, the obligatory passage, the initiation to become a practitioner. This Name has more to do with breath than with a word, a name. Conscious breathing, the prànàyàma, has to do with the technique of the Holy-Name, one of the four revealed, even if these details do not allow you to know the technique. It is explained verbally so as not to mislead or cause confusion.
“The Holy-Name cannot be said,
to listen to it is to enter into bliss.”
Bhaktimàrga 6
This Name, in whose repetition it is a question of being damaged, is carried by the breath and, when we have been shown how to do it, it is possible to listen attentively to its repetition. It repeats itself without our intervention. We just have to listen to it and let ourselves be absorbed.
The music is called Nada
The technique of music is called Bhramari, in the Gheranda samhità, one of the three classical texts of Yoga, composed by Gheranda in the 17th century. The practice of this technique is “Nada-Yoga”.
Sometimes disciples cannot practice this technique properly because of physical problems, which leads to a lack of experience in this meditation. This is not a fundamental problem, because the four techniques are the four slopes of the same mountain, whose summit is the deepening of its consciousness. If the disciple cannot practice this technique, he will not be able to practice this “Nada-yoga".
What counts, on The Path, more than each of the four techniques, is the whole practice, the four pillars. There is service, satsang and angas which count equally and in satsang the teaching delivered by the living master.
Other disciples may have other problems, of the same order as those described above, concerning music, but this time affecting the perception of the inner light. They always have the Holy Name and music. The important thing, once again, is to gather the consciousness in its center so as to perceive Grace.
“The One is nectar, light, music,
the two sounds of breath and, in Man,
the thirst for truth and the ability to give oneself.”
Bhaktimàrga 17
The following aphorism
Yogasûtra, I.29: “Consequently the obstacles disappear and come full consciousness.” This aphorism says what this letting go, this deep meditation on the Holy-Name gives. The practice of The Path, as written above, consists of four pillars and meditation is one of those pillars. Among these four pillars, there is the service which is the inaction of the Dao-De-Jing and the devotional service of the Bhagavad-Gita.
Two of the four techniques are only practiced sitting at the “secret” of his meditation room: music and light. Two other of these techniques are practiced sitting and while going about his business; the Holy-Name and the Nectar. It is through this ability to be practiced sitting and in action that inaction is possible, service.
If you wish to be introduced to these four techniques
you must apply
to receive the Revelation.
Contact email: lavoie.eu@gmail.com
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