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English below. Pourquoi Lao-Tseu aurait-il été le disciple de Gautama, des Sakyas ? Parce qu'en lisant une traduction correcte du Tao-Te-King, on ne peut que constater que son enseignement est le même que celui du buddha Gautama, pas seulement, il est aussi le même que celui délivré par la Bhagavad-Gîtâ ou « Le chant de l'éveillé » et d'autres livres encore.

 

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English below

 

L'accueil du blog

 

 

 

Je reconnais que ce titre est « putaclic », comme on dit sur les réseaux. En français, on dit « racoleur ». Pourtant, il y a quelque chose de vrai dans cette affirmation : Lao-Tseu aurait pu être le disciple de sri Gautama, du clan des Sakyas, appelé aussi « Bouddha » ou Sakyamuni (sage des Sakyas).

 

Il aurait aussi pu être le disciple du maître spirituel de Gautama, Mahavira ou d'un autre éveillé de cette lignée, dont le nom nous est inconnu.

 

Lao-Tseu aurait vécu vers le milieu du VIe siècle av. J.-C et le milieu du Ve siècle av. J.-C. Le bouddha historique, sri Gautama, des Sakyas, aurait vécu dans le même laps de temps. Mais sur une période de cent ans, on peut se rater.

 

Lao-Tseu ou Laozi

 

Un petit point sur Lao-Tseu. Cet homme était un éveillé ou bhudda. Un éveillé est une personne qui a vécu un « nirvikalpa samadhi », autrement dit qui a plongé entièrement sa conscience dans l'Unité du Tout (ou Tao) par la méditation ou, comme guru Nanak, par accident.

 

Le mot buddha signifie « éveillé ». Aujourd'hui, le mot éveillé renvoie au wokisme, ou aux gilets jaunes, ou encore aux complotistes. Une personne qui se sent sortie du « Troupeau des moutons », croyant à la « propagande des chaînes d'info mainstream » se dit éveillée. En spiritualité, depuis très longtemps, quand on dit « éveil » et « éveillé » on parle de « Bodhi ».

 

La plupart du temps les définitions de « bodhi » ne sont pas justes. Par exemple, un éveillé n'est pas obligatoirement une âme libérée des chaînes du samsara. L'éveil et la Libération sont deux choses différentes. Une âme est libérée (le Moksha) quand, après sa « désincarnation » (la mort), elle ne revient pas s'incarner et reste dans la parfaite conscience de la béatitude ou satçitananda.

 

Pour en revenir à Lao-Tseu... cette personne serait l'auteur ou l'inspirateur du livre, le « Tao-Te-King » ou « Dao-De-Jing ». « Surnommé « Tàishàng lǎojūn » ou « Seigneur suprême Lao », de son vrai nom « Li Er ». Lao-Tseu aurait été contemporain de Confucius (milieu du VIᵉ siècle av. J.-C. milieu du Vᵉ siècle av. J.-C.) Il serait né dans le pays de « Chu » du royaume des « Zhou » et serait parti pour une retraite spirituelle vers l’ouest de la Chine actuelle, avec une destination inconnue. » (Wikipédia)

 

La dernière information de cet extrait de Wikipédia est importante : Lao-Tseu serait parti, pour une destination inconnue, pour une retraite spirituelle. On dit qu'il fit ce voyage âgé de soixante ans, monté sur un buffle. On parle aussi d'une « passe », ce qui signifie qu'il a traversé une chaîne de montagne, pour se rendre à sa « retraite spirituelle ».

 

Retraite spirituelle

au cachemire

 

Deux questions me viennent alors : qu'y a-t-il comme montagnes à l'ouest de la Chine, demandant à être traversées par une passe ? La réponse est l’Himalaya et la passe, située à l'ouest, pourrait parfaitement mener vers le Cachemire, actuellement au Pakistan et en Inde.

 

Comme on n'a pas d'idée très précise de la date de ces événements, il est impossible de dire comment était cette région à l'époque. Il y avait différents empires et les frontières connues actuellement n'existaient pas. Toutefois, la chaîne de montagne, la passe et la géographie physique existaient, comme le Cachemire.

 

Disciple du Bouddha

 

Pourquoi Lao-Tseu aurait-il été disciple de Gautama, des Sakyas (un buddha) ou de Mahavira* ? En lisant une traduction correcte du Tao-Te-King, on constate que son enseignement est le même que celui du buddha Gautama, pas seulement, il est aussi le même que celui délivré par la Bhagavad-Gîtâ ou « Le chant de l'éveillé » et d'autres livres encore.

 

*Mahavira : maître de Gautama et de Gosala. Cet éveillé est donné comme réformateur du Jaïnisme. En quoi a-t-il réformé le Jaïnisme ? On ne le dit pas. Un maître jaïn, qui s'est éveillé, est perçu évidemment comme un réformateur. Gautama (le buddha historique) et un de ses collègues, Gosala, étaient des disciples de Mahavira. C'est de ce maître du « Jaïnisme réformé » que Gautama reçut la révélation des techniques qui lui ont permis d’atteindre l'éveil, dans une longue et profonde méditation. Gosala, après avoir été chassé de son ashram par Mahavira, (qui le considérait comme incapable de suivre sa sadhana*), a créé la religion Ājīvika.

 

*Sadhana : ensemble des pratiques d'une voie spirituelle ou màrga.

 

Ces livres ont été traduits de maintes façons et, selon la traduction que vous lirez, vous ferez le rapprochement ou pas. Je vous mets des liens vers des traductions qui montrent cette forte ressemblance.

 

L'enseignement du Tao-Te-King, du buddha et du « Chant de l'éveillé » est le même que celui de Patanjali, évoqué dans les Yogasûtras. Là encore, de nombreuses traductions ont été faites et je vous donne le lien pour lire celle qui montre la ressemblance dont je parle. Ce sera à vous de vous faire votre opinion.

 

Le buddha Gautama, quand il a atteint l'éveil, par la méditation, au « parc des gazelles », à une dizaine de kilomètres de Varanasi (Bénarès) et qu'il a donné son premier satsang (Dhammacakkappavattana sutta) d'éveillé à ses frères disciples de Mahavira, était alors un moine jaïn.

 

Un seul enseignement

 

Le Tao-Te-King dit la même chose que ce que disaient buddha et Mahavira, ainsi que Patanjali et ce maître éveillé oublié, que les hindouistes indiens ont surnommé « Krishna » (noir), avant de le transformer en avatar de Vishnou et d'inclure son Upanishad (Le chant de l'éveillé) dans le « Mahâbhârata », pour en faire un livre saint Hindouiste.

 

Attention, à propos des livres « sacrés » : ils ne délivrent pas d'enseignement : les suttas (du buddha), comme le Tao-Te-King, le Yogasûtra, le Guru Granth Sahib, la Bhagavad-Gîtâ ne vous apprendront pas les techniques de méditation que les maîtres ont utilisé pour atteindre l'éveil !

 

En lisant le Tao-Te-King, vous n'apprendrez pas la méditation que Lao-Tseu pratiquait. En lisant les Suttas, vous n'apprendrez pas les techniques de méditation que Mahavira enseigna à sri Gautama et que le Buddha (historique) enseignait de son vivant à ses quelques disciples. En lisant le Yogasûtra, quelle que soit sa traduction, vous n'apprendrez pas à méditer comme Patanjali méditait. Ces livres sont seulement des sources d'inspiration.

 

Spiritualité et religions

 

Certains disent que Lao-Tseu et Patanjali sont des personnages fictifs. Pourtant, le Tao-Te-King et le Yogasûtra existent. Ils évoquent des enseignements similaires, sans en révéler les secrets. Ces derniers, partiels, ont donné naissance à des religions. Lao-Tseu, d'homme éveillé, est devenu un Dieu, pour les taoïstes, comme Gautama, pour les bouddhistes, ou « krishna », pour les vishnouïtes et les hindouistes.

 

Les religions naissent à partir de livres. Les livres ne donnent pas la vraie connaissance. Seule l'initiation (Révélation) des « mains » d'un maître spirituel, connaissant les techniques originales de La Voie, permet de vivre la réalisation spirituelle. C'est la spiritualité authentique.

 

Bouddhisme et taoïsme

 

Lao-Tseu, ou quel que fut son nom, a été initié au Cachemire, où vivaient les descendants des harappéens, par un éveillé, Gautama, son maître Mahavira ou un autre de cette lignée, durant sa retraire spirituelle inconnue, à l'ouest de la Chine, après avoir traversé des montagnes, par une passe.

 

Pour finir, une petite information : chez les bouddhistes, le mot Tao a reçu, suivant le dictionnaire « Sants’ang-fa-sou » le sens de « Pou-thi », transcription chinoise du mot sanskrit buddhi. Il est bon de savoir que tous les traducteurs donnent à ce mot le sens d'intelligence et disent que :

 

« Buddhi est un terme sanskrit qui signifie dans la philosophie indienne la capacité d'intelligence liée à la réflexion et la discrimination. C'est le premier constituant de l'organe interne appelé antaḥkaraṇa dans le Sāṃkhya ou le Vedānta et plus particulièrement dans l'Advaita Vedānta. C'est aussi une composante importante dans le bouddhisme qu'il ne faut pas confondre avec prajñā ou bodhi. » (Wikipédia).

 

Ils se trompent : le mot « buddhi » est un mot sanskrit dérivé de la racine « budh », qui signifie « savoir » ou « connaissance » ou « être éveillé ». La connaissance, ici, n'a rien à voir avec les connaissances apprises intellectuellement, mais elle est le Veda (vision ou connaissance), la connaissance intime de l'Unité du Tout, venue d'une méditation profonde, « dhyana » ou « samadhi ».

 

Le buddhi ou connaissance, selon la lexicologie originelle signifiant « la connaissance » ou « Le veda », autrement dit la doctrine de Gautama, ne faisait que commencer à se répandre en Chine. Les bouddhistes n’avaient pas encore reçu le nom de Seng ; on les appelait généralement Tao-jin, c’est-à-dire les hommes de la connaissance.

 

Dans le « Chin-i-tien », il est écrit que les « Tao-jin » (les bouddhistes), se liguèrent avec les « Tao-sse » (les disciples de Lao-Tseu) pour combattre les « Jou » (ou les lettrés de l’école de Confucius).

 

Quand on parle de combattre, c'est d'un point de vue doctrinal. Les taoïstes premiers, disciples de Lao-Tseu, connaissant les techniques par lui apprises, s'unirent avec les premiers disciples de Gautama, initiés comme eux, pour combattre les doctrines intellectuelles du philosophe Confucius. Ce philosophe, contemporain de Lao-Tseu, était un intellectuel, pas un maître spirituel éveillé.

 

Ces informations ont été recueillies dans le livre de Stanislas Julien (1842), « Le Dao De Jing de Laozi » ou Tao-Te-King. Elles ne font que renforcer l'affirmation selon laquelle Lao-Tseu était apparenté au bouddhisme.

 

Les boutons de partage sont à la suite de la traduction. Si ce texte vous a apporté quelque chose, partagez sur les réseaux sociaux pour que d'autres puissent le lire.

 

 

 

e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com

Le blog des satsang

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Lao-Tzu Disciple of Buddha

 

I recognize that the title is “clickbait”. Yet there is something true in this statement: Lao-Tzu could have been the disciple of Sri Gautama, of the Sakya clan, also called «Buddha» or Sakyamuni (wise of the Sakyas). He could also have been the disciple of Gautama’s spiritual master, Mahavira or another awakened member of this line, whose name is unknown to us.


Lao-Tzu would have lived around the middle of the 6th century BC and the middle of the 5th century BC. The historical Buddha, Sri Gautama, of the Sakyas, would have lived in the same time frame. But over a hundred years, we can miss each other.

 

Lao-Tzu

 

A small point about Lao-Tzu. This man was an awakened or bhudda. An awakened is a person who has experienced a «nirvikalpa samadhi», in other words who has plunged his consciousness entirely into the Unity of the Whole (or Dao) through meditation or, as guru Nanak, by accident.


The word Buddha means “awakened”. Today, the word awakened refers to wokism. A person who feels out of the «Sheep Herd», believing in the «propaganda of the mainstream news channels» is said to be awake. In spirituality, for a very long time, when we say “awakened” and “awakened”, we speak of “Bodhi”.


Most of the time the definitions of bodhi are not correct. For example, an awakened person is not necessarily a soul freed from the chains of samsara. Awakening and Liberation are two different things. A soul is liberated (the Moksha) when, after its «disembodiment» (death), it does not return to incarnate and remains in the perfect consciousness of bliss or satçitananda.


Going back to Lao-Tzu...that person would be the author or the inspiration for the book, the “Dao-De-Jing”. “Known as “Tàishàng lėojūn” or “Supreme Lord Lao”, whose real name is “Li Er”. Lao-Tzu is said to have been a contemporary of Confucius (mid-7th century B.C.) He was born in the “Chu” country of the “Zhou” kingdom and went on a spiritual retreat to the west of present-day China, with an unknown destination.” (Wikipedia)


The last information of this Wikipedia extract is important: Lao-Tzu would have left, for an unknown destination, for a spiritual retreat. It is said that he made this trip, sixty years old, mounted on a buffalo. It is also called a “pass”, which means that he crossed a mountain range to go to his “spiritual retreat”.

 

Spiritual Retreat Cashmere
 


Two questions then come to me: what are there like mountains in the west of China, asking to be crossed by a pass? The answer is the Himalayas and the pass, located in the west, could perfectly lead to Kashmir, currently in Pakistan and India.


Since we have no clear idea of the date of these events, it is impossible to say what the region was like at the time. There were different empires and the borders known today did not exist. However, the mountain range, the pass and the physical geography existed, like Kashmir.


Disciple of the Buddha
 


Why would Lao-Tzu have been a disciple of Gautama, the Sakyas (a Buddha) or Mahavira*? Reading a correct translation of the Dao-De-Jing, we see that its teaching is the same as that of the Gautama Buddha, not only, it is also the same as that delivered by the Bhagavad-Gita or "The Song of the Awakened" and other books.


* Master of Gautama and Gosala. This awakened is given as a reformer of Jainism. In what has he reformed Jainism? It is not said. A Jain master, who has awakened, is obviously perceived as a reformer. Gautama (the historical Buddha) and one of his colleagues, Gosala, were followers of Mahavira. It was from this master of «Reformed Jainism» that Gautama received the revelation of the techniques which enabled him to reach enlightenment, in a long and profound meditation. Gosala, after being driven out of his ashram by Mahavira (who considered him incapable of following his sadhana*), created the Ājīvika religion.


These books have been translated in many different ways and, depending on the translation you read, you may or may not reconcile. I put links to translations that show this strong resemblance.


The teaching of the Dao-De-Jing, the Buddha and the «Song of the Awakened» is the same as that of Patanjali, evoked in the Yogasûtras. Here again, many translations have been made and I give you the link to read the one that shows the resemblance I am talking about. It will be up to you to form your opinion.


The Gautama Buddha, when he reached awakening through meditation in the “gazelle park” about ten kilometres from Varanasi (Benares) and gave his first satsang (Dhammacakkappavattana sutta) from awakening to his fellow disciples of Mahavira, was then a Jain monk.


One Single Teaching

 

The Dao-De-Jing says the same thing as Buddha and Mahavira, as well as Patanjali and this forgotten awakened master, whom the Indian Hindus nicknamed “Krishna” (black), before turning him into Vishnu’s avatar and including his Upanishad (The Song of the Awakened) in the «Mahabharata», to make it a holy Hindu book.


Attention, about the «sacred» books: they do not deliver teaching: the suttas (of the buddha), like the Dao-De-Jing, the Yogasûtra, the Guru Granth Sahib, the Bhagavad-Gita will not teach you the meditation techniques that the masters used to reach awakening!


By reading the Dao-De-Jing, you will not learn the meditation that Lao-tse practiced. By reading the Suttas, you will not learn the meditation techniques that Mahavira taught to Sri Gautama and that the (historical) Buddha taught to his few disciples during his lifetime. By reading the Yogasûtra, whatever its translation, you will not learn to meditate as Patanjali meditated. These books are only sources of inspiration.

 


Spirituality and Religions


Some say that Lao-Tzu and Patanjali are fictional characters. However, Dao-De-Jing and Yogasûtra exist. They evoke similar teachings, without revealing the secrets. The latter, partial, gave birth to religions. Lao-Tzu, of awakened man, became a God, for the Taoists, like Gautama, for the Buddhists, or «krishna», for the Vishnuys and the Hindus.


Religions are born from books. Books do not give true knowledge. Only the initiation (Revelation) of the «hands» of a spiritual master, knowing the original techniques of the Way, allows to live the spiritual realization. This is authentic spirituality.



Buddhism and Taoism


Lao-Tzu, or whatever his name was, was initiated into Kashmir, where the descendants of the Harappeans lived, by an awakened, Gautama, his master Mahavira or another of this lineage, during his unknown spiritual retreat in western China, after crossing mountains, by a pass.


Finally, a little information: among Buddhists, the word Tao received, according to the dictionary «Sants'ang-fa-sou» the meaning of «Pou-thi», Chinese transcription of the Sanskrit word buddhi. It is good to know that all translators give to this word the meaning of intelligence and say that the: Buddhi is a Sanskrit term which means in Indian philosophy the ability of intelligence related to reflection and discrimination. This is the first constituent of the internal organ called antaḥkaraṇa in the Sāėkhya or Vedānta and more particularly in the Advaita Vedānta.

 

It is also an important component in Buddhism that should not be confused with prajñā or bodhi.” (Wikipedia).


They are mistaken: the word “buddhi” is a Sanskrit word derived from the “budh” root, which means “knowing” or “knowing” or “being awake”. Knowledge here has nothing to do with knowledge learned intellectually, but it is the Veda (vision or knowledge), the intimate knowledge of the Unity of the Whole, coming from a deep meditation, «dhyana» or «samadhi».


The buddhi or knowledge, according to the original lexicology meaning «knowledge» or «veda», in other words the doctrine of Gautama, was only beginning to spread in China. The Buddhists had not yet received the name of Seng; they were generally called Tao-jin, that is, men of knowledge.


In the «Chin-i-tien», it is written that the «Tao-jin» (the Buddhists) joined forces with the «Tao-sse» (the disciples of Lao-Tzu) to fight the «Jou» (or the scholars of the school of Confucius).


When we talk about fighting, it is from a doctrinal point of view. The first Taoists, disciples of Lao-Tzu, knowing the techniques he learned, joined with the first disciples of Gautama, initiated like them, to fight the intellectual doctrines of the philosopher Confucius. This philosopher, contemporary of Lao-Tzu, was an intellectual, not an awakened spiritual master.


This information was collected in the book of Stanislas Julien (1842), «Dao De Jing de Laozi» or Dao-De-Jing. They only reinforce the claim that Lao-Tzu was related to Buddhism.

 

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Tag(s) : #LaoTseu, #spiritualité, #bouddha, #LaVoie, #Méditation, #éveil, #hansYoganand, #TaoTeKing, #DaoDeJing
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