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Un long texte, fruit de mois d'un travail de recherches assidues, auprès de sources fiables,  dans différents pays. Il est question de la vie, ici, de Jésus, de toute sa vie après la date supposée de sa crucifixion supposée également, jusqu'à l'âge de 120 ans et de sa mort en Inde (le cachemire pakistanais actuel).

 

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Résumé :

 

Ici vous avez le fruit d'un gros travail de plusieurs mois de recherche bibliographique, de lecture de livres universitaires d'histoire, tant d'un point de vue occidentale que d'un point de vue oriental. Ce texte propose deux thèses qui, toutes deux, remettent en cause la mort de Jésus sur la croix et sa résurrection au troisième jour. Ce qui ne remet pas en cause la transcendance de l'enseignement de Jésus. Il était un éveillé au même titre que le bouddha Gautama et d'autres.

 

Deux théories sont possibles : la première, Jésus ne serait jamais passé par la case crucifixion. Il aurait quitté la Palestine à cause de la haine des pharisiens du Sanhédrin (assemblée et tribunal juif traditionnel), pour se réfugier, dans un premier temps, à Damas qui était dans l'empire perse. Ensuite il serait parti, toujours dans l'empire perse, jusqu'aux rives de l'Indus, dans une région devenue le Pakistan actuel. Il aurait voyagé en Inde, en Afghanistan avant de mourir à plus de cent ans. Des livres, cités dans le texte ci-dessous, racontent son histoire du point de vue des peuples orientaux qui l'ont connu.

 

La seconde version est la même, à une différence près : il aurait été crucifié, mais ne serait pas mort. Les proches de Jésus, dont Joseph d'Arimathie, auraient payé un pot-de-vin aux soldats romains pour emporter le corps de Jésus, dans une sorte de comas d'épuisement, de déshydratation et de douleur, qui faisait penser qu'il était mort.

 

Quand le thanatopracteur de Joseph d'Arimathie est venu voir le corps de Jésus, dans l'ombre fraîche du tombeau (grande grotte creusée dans la roche), il a constaté qu'il était vivant. En payant les soldats de garde, ils ont déménagé Jésus. Quelques semaines après l'épisode du chemin d'Emmaüs, Jésus se serait rendu à Damas, qui était dans l'empire perse, avec sa compagne et des proches, hors d'atteinte des Romains. Ici, les deux théories se rejoignent.

 

Il existe un troisième explication : que cet épisode de la vie de Jésus soit une copie d'un texte des Upanishads, livre indien :  Nachiketas fait l'offrande de sa vie par amour pour son père, rachète ses péchés et ressuscite à la vie, après trois nuits dans l'antre de la mort (katha-upanishad : le troisième vœu de Nachiketa.) Pour peu que Jésus ait enseigné la parabole de Nachiketas avant sa mort, un quiproquo a pu ensuite faire croire que Jésus s'est sacrifié pour nos péchés et à notre place, comme un bouc émissaire.

 

Le Jésus des chrétiens

et celui des Indiens

 

L'évangile de Jésus :

Les paroles de Jésus sans les miracles.

 

Jésus est devenu un mythe de l'humanité chrétienne, fils de Dieu, Dieu lui-même, pour certains, prophète pour d'autres. L'histoire de Jésus, apprise au catéchisme, est un merveilleux conte. Le Jésus né d'une vierge, exclusivement chrétien, mort sur la croix, ressuscité au troisième jour et fils de Dieu n'a jamais existé. Pourtant, un Jésus, éveillé (bouddha), connaisseur du Royaume a vraiment existé et nous avons la Grâce de connaître quelques-unes des paroles qu'il a dites, à travers l'évangile de Jésus.

 

La vérité, la spiritualité n'ont rien de magique et quand quelque chose, à ce propos, heurte la logique, c'est qu'elle est fausse. Marcher sur l'eau, nul ne le peut, à part certains insectes et lézards. Jésus n'avait pas besoin de ça pour parler au Nom de Dieu. On ne doit pas tout accepter des évangiles, ni tout rejeter. Par ailleurs, il est difficile de trier le bon grain de l'ivraie. Il faut pour ça un discernement particulier, la juste-vue.

 

La légende de la crucifixion

expliquée

 

Par exemple, à propos de la résurrection de Jésus, au troisième jour, voici deux propositions, la première : Jésus est tombé dans une sorte de catalepsie, de coma, après tout ce temps passé sur la croix en plein soleil. Quand sa mère, sa compagne et Joseph d'Arimathie, sont venus réclamer son corps aux gardes romains, le sous-officier romain, un optio, a vérifié si Jésus était mort. Il le fit piquer, par un légionnaire, avec son pilum. Jésus ne réagissant pas, l'optio a autorisé, ceux qui le réclamaient, à partir avec ce qu'il croyait être sa dépouille.

 

Le corps amené dans l'ombre fraîche du tombeau de Joseph, le thanatopracteur de l'époque a constaté que Jésus vivait. Joseph a l'a fait soigner, dans le plus grand secret et l'a laissé enveloppé dans un drap et confortablement installé. Après trois jours, tout en revenant s'occuper de lui en secret, ils ont sorti Jésus pour l'amener dans une maison sûre. Ils durent payer un bakchich aux gardes romains, pour qu'ils les laissent emporter ce qu'ils pensaient être un mort. Après son parfait rétablissement, il est parti, avec sa compagne, Marie-Madeleine et d'autres proches, dont on ignore les noms, aux alentours de Damas qui était, à l'époque, en dehors du monde romain, dépendant des Perses.

 

Il existe un troisième explication : que cet épisode de la vie de Jésus soit une copie d'un texte des Upanishads, livre indien :  Nachiketas fait l'offrande de sa vie par amour pour son père, rachète ses péchés et ressuscite à la vie, après trois nuits dans l'antre de la mort. Pour peu que Jésus ait enseigné la parabole de Nachiketas avant sa mort, un quiproquo a pu ensuite faire croire que Jésus s'est sacrifié pour nos péchés et à notre place, comme un bouc émissaire.

 

 

C'est justement à 5 km de Damas que se trouve encore actuellement le lieu-dit "Mayuam i Isa" (lieu ou a vécu Jésus). L'historien persan Mir Kawand dit que Jésus y a vécu et enseigné après la crucifixion.

 

 

On remarquera que, d'après la Bible,

c'est près de Damas que Paul aurait rencontré Jésus

dans les ''Actes des apôtres'', chapitre 9.

 

La deuxième proposition est différente. Elle ne remet pas en cause l'historien Mir Kawand, ni toute la suite du texte. Cette deuxième proposition dit que Jésus n'a jamais été crucifié, que cette histoire aurait été inventée par certains apôtres, après que Jésus soit retourné en Inde. Cette histoire de crucifixion aurait été calquée sur celle d'Orphée, un prophète grec de l'antiquité, vers 500 avant notre ère.  À cette époque, il s'en est passé des choses : naissance de Sri Gautama, le Bouddha historique, de Lao-Tseu, en Chine, réforme du jaïnisme, apprentissage mystique de Gautama, futur bouddha et, quelques années plus tard, mort de tous ces gens.

 

 

 

Quand les premiers chrétiens évangélisaient les gens, ils récupéraient leurs croyances et les christianisaient. Le mythe d'Orphée, ainsi christianisé, a éteint l'orphisme en Grèce et en Bulgarie. Les hindouistes ont fait la même chose avec Krishna et le bouddha gautama.

 

 

 

Que Jésus ait été crucifié ou non, qu'il ait été capable de changer l'eau en vin ou non, de marcher sur l'eau ne change rien à son enseignement. La suite de ce texte est une synthèse de plusieurs ouvrages sur la vie de Jésus après la crucifixion, dont celui de Pierre Vergeot. Chaque référence bibliographique a été creusée et chaque info a été recoupée plusieurs fois, en cherchant des ouvrages qui la confirmeraient ou l'infirmeraient. Beaucoup ont demandé d'être traduites, car rédigés en anglais, en allemand et en sanskrit.

 

Certains ouvrages ont été trouvés en PDF, sur le site de l'université d'Oxford, d'autres d'universités israéliennes, allemandes, indiennes et françaises. Ce travail a été long et difficile.

 

Quand l'info donnée, par les différents livres, était recoupée par d'autres sources, elle a été agrégée au texte qui suit. Toutes les sources n'ont pas été citées, c'eut été fastidieux et aurait alourdi le propos. Il est facile de les trouver en tapant, dans un moteur de recherche, les mots clés correspondants. Voici ce texte qui tend à prouver que Jésus a vécu très longtemps en Asie, après sa mort et sa résurrection biblique. La ''carrière'' de messie de Jésus en Palestine n'aurait durée que trois ans !

 

Le père de l'église, Irénée, dit dans son livre : "Contre les hérésies", que Jésus a vécu vieux et qu'il est resté en Asie, jusqu'au temps de l'empereur Trajan, avant de mourir. Or le règne de Trajan a commencé en 98, alors que Jésus avait juste cent ans.

 

Les pérégrinations orientales

de Jésus

 

Selon Eusèbe de Césarée (265/339), évêque de Césarée en Palestine, le roi Abgar 5 Ukkuma, roi d'Osrhoène (de 09 à 46 ap/JC), aurait demandé à Jésus de le soigner, alors qu'il était encore réfugié à Damas. Jésus lui aurait envoyé son disciple Thaddée (Jude, fils d'Alphée, le cousin de Jésus). Ce royaume d'Osrhoène était situé au nord-ouest de la Mésopotamie et avait pour capitale Edesse (l'Urfa turque actuelle, au nord de la Syrie). Il devint une colonie romaine en 216 après J-C.

 

Cet épisode a été relaté aussi par un Perse, Faquir Muhammed, qui dit que, de Damas, Jésus aurait envoyé l'apôtre Thomas, à Nisibis, près d'Edesse, pour en guérir le roi avant de s'y rendre lui-même avec sa compagne. L'historien persan Mir Muhammaddans ben Khawand est l'auteur, en 1417 du livre Rauza-tus-Safa fi Sirat-ul-Ambia wal Muluk wal Khulafa (jardins de la pureté sur la biographie des prophètes, des rois et des Califes). Dedans, il mentionne une tradition concernant une visite de Jésus et Marie-madeleine à Nasibain (ville près de Mossoul, dans l'Irak actuelle) :

 

 

 

 

"Jésus, la paix soit sur lui, a été appelé "le Messie'' parce qu'il était un grand voyageur. Il portait une écharpe de laine sur sa tête et un manteau de laine sur son corps (comme les soufis). Il avait un bâton dans sa main et l'habitude d'errer d'un pays à l'autre et de ville en ville.

 

À la nuit il restait où il était arrivé. Il mangeait des plantes, buvait l'eau des ruisseaux et voyageait à pied. Ses compagnons, dans un de ses voyages, lui avaient une fois acheté un cheval ; il a monté ce cheval pendant un jour, mais comme il ne pouvait pas le nourrir, il l'a renvoyé.

 

Voyageant dans son pays, il est arrivé à Nasibain. Avec lui étaient quelques-uns de ses disciples qu'il avait envoyés dans la ville pour prêcher. Dans la ville, cependant, il courrait des rumeurs fausses et infondées au sujet de Jésus, que la paix soit sur lui. Le gouverneur de la ville a donc arrêté les disciples et a appelé Jésus. Le roi du territoire de Nasibain, avec toutes ses armées et ses personnes, est devenu alors un sectateur de Jésus. La légende de la descente de la nourriture, contenue dans le saint Coran, appartient aux jours de ses voyages."

 

Selon les textes apocryphes des "Actes de Thomas", Jésus et Thomas seraient ensuite allés à Adrapa (Andrapolis) en Paphlagonie (Le nord de la Turquie près de la mer Noire). Jésus aurait obligé son disciple à aller chez Gundafor, roi d'Avanti (une région de l'Inde antique correspondant au Madhya Pradesh actuel), qui régnait au Cachemire et dominait la Parthie (Nord-est de l'Iran à l'est de Téhéran) et ce qui est devenu le Pakistan (20 à 48 de notre ère). Par la suite, Jésus aurait rejoint Thomas à Taxila, vers l'an 47. (province du Pakistan-actuel, ancien Gandhara).

 

Dans le "Rouleau de Safed" ou "Rouleau de Mehgheehlla", découvert en 1882 près du lac de Tibériade, il est dit aussi que Yeshai (Jésus) fut condamné à mort pour incitation à la rébellion contre Rome, mais parvint à s'enfuir et voyagea jusqu'en Inde.

 

 

 

Le livre perse Farhang Asafia affirme que Hazrat Isa (Jésus) se faisait alors appeler Yuz Asaf (chef des purifiés) et qu'il voyagea en Perse, Afghanistan et ce qui est devenu le Pakistan.

 

 

 

 

Les Ahmadis, réformistes musulmans des Indes, vénèrent un tombeau qu'ils nomment "Roza Bal" et qu'ils disent être celui de Jésus situé à Srinagar au Cachemire. Ce courant affirme que Jésus est un prophète de Dieu qui aurait été déposé de la croix en état de coma et non mort et, une fois soigné, serait venu finir sa vie au Cachemire jusqu'à l'âge de 120 ans. Cette doctrine est celle de l'évanouissement.

 

Gulam Ahmad (1839-1908), fondateur de ce mouvement, a identifié Jésus avec Yuzasaf qui est vénéré par les musulmans.

 

Jésus en Inde,

au Pakistan actuel

 

Dans le livre Tarikh-i-Kashmir, l'historien persan, Mullah Nadri, fait mention de Yuz-Asaph/Jésus-Christ, à la page 69. L'annotation de ce document énonce que six jours après sa crucifixion, Jésus aurait visité plusieurs endroits et rencontrés Zacharie, Marie et ses disciples, puis serait parti alors pour une destination inconnue. À l'âge de trente-trois ans, il quitta la Palestine pour la Vallée Sacrée (de l'Indus, au Cachemire).

 

Il y est raconté comment Jésus, sous le nom de Yuz-Asaph, intervint dans un différend entre le roi Gopananda et un de ses ministres perse, Sulaiman. Actuellement, au-dessus de la ville de Srinagar, existe encore un temple connu sous le nom de "trône de Salomon", qui remonte au moins à 1000 av/J.c et que le Roi Gopananda avait restauré du vivant de Jésus.

 

D'autres livres orientaux citent Jésus et parlent de sa longue vie après la crucifixion et des œuvres qui furent les siennes. Son existence après son épisode juif a été plus longue et plus riche que celle narrée par les évangiles. L'historien Shaikh al Sa'id us Sadiq (mort au Khorasan en 962), écrit, dans le Ikmal ud din, que Yuz-asaf/Jésus est allé deux fois en Inde et qu'il est mort au Cachemire, il nous raconte que :

 

"Yuz Asaf, après avoir erré dans beaucoup de villes, a atteint ce pays qui s'appelle le Cachemire. Il a voyagé loin et est resté là et a dépensé sa vie (restante) jusqu'à ce que la mort l'ait rattrapé : il a été élevé vers la Lumière. Mais avant sa mort, il a appelé un de ses disciples, Ba'bad, qui le servait et était bien versé dans tous les sujets. Il lui a exprimé sa volonté et a dit : « Mon heure pour quitter ce monde est venue. Continuez votre tache correctement et ne déviez pas de la vérité et faites vos prières (méditations) régulièrement. »

 

 

Voici un extrait du Bhavishya-Purana ou Bhavisyapurāna qui est l'un des dix-huit grands Puràna Hindous. Il est écrit en sanskrit et attribué àvyàsa, le compilateur des Véda. Le titre Bhavisya Purāna désigne un travail qui contient des prophéties concernant l'avenir (en sanskrit : bhavisya). Bien qu'il ait été étiqueté comme Purāna, (Purāna signifie ''des temps anciens''), cette œuvre ne concerne que quelques légendes. C'est l'un des purāna dans lequel une liste de dynasties royales du passé est suivie par des listes de rois dont le règne est prédit à l'avenir.

 

 

Le texte tel qu'il existe aujourd'hui est un composite de matériaux allant du très vieux au très récent. Des portions du texte existant sont tirées du "livre de la loi de Manu*" (ou la "Manusmrti" aussi appelée "Mānava-Dharmasàstra", daté du deuxième siècle de notre ère), y compris la narration de la création, dont il fait partie. Le livre "Bhavisya-Puràna" est classé comme l'un des dix Purāna-Shaivadans, le système de classification utilisé dans le Sivarahasya-khanḍan de la Sankara-Samhità. Dans le système traditionnel de classification, selon les trois gunas donnés dans le Padma-Purana, il est classé dans la catégorie des rajas, qui contient Puràna dont la divinité centrale est "Brahma". Bien qu'une grande partie des textes du livre a une origine ancienne, védique, d'autres parties sont moins anciennes et d'autres, encore, sont bien plus récentes.

 

* Manu : dans l'hindouisme, Manu est l'équivalent de notre Adam, le premier Homme sur Terre.

 

Textes 17 – 21

 

ikramaditya-pautrasca
pitr-rajyam grhitavan
jitva sakanduradharsams

 

cina-taittiridesajan

 

bahlikankamarupasca

 

romajankhurajanchhatan
tesam kosan-grhitva ca
danda-yogyanakarayat

 

sthapita tena maryada

 

mleccharyanam prthak-prthak

 

sindhusthanam iti jneyam
rastramaryasya cottamam

 

mlecchasthanam param sindhoh
krtam tena mahatmana
ekada tu sakadiso
himatungam samayayau

 

Texte 22

 

ekadaa tu shakadhisho
himatungari samaayayau
hunadeshasya madhye vai
giristhan purusam shubhano
dadarsha balaram raajaa

 

"Shalivahan, qui était un petit-fils de Bikrama Jit, a assuré le gouvernement. Il a vaincu les hordes hostiles des Chinois, des Parthes, des Scythes et des Bactriens. Il a dessiné une frontière entre les Aryens et les Mlecchas (les non-Hindous). Un jour, Shalivahan, chef des Sakyas (clan Aryen de Gautama le bouddha), est entré dans les Himalayas. Là, dans la terre de Hun (le Ladakh, une partie de l'empire Koushan), le roi puissant a vu un homme assis sur la pierre d'une montagne. Sa peau était claire et il portait des vêtements blancs.''

 

 

Texte 23

 

Ko bharam iti tam praaha
su hovacha mudanvitah
iishaa purtagm maam viddhi
kumaarigarbha sambhavam

 

Texte 24

 

mleccha dharmasya vaktaram
satyavata paraayanam
iti srutva nrpa praaha
dharmah ko bhavato matah

 

Textes 25 – 26

 

shruto vaaca mahaaraaja
praapte satyasya samkshaye
nirmaaryaade mlechadeshe
masiiho ‘ham samagatah

 

Textes 27 – 29

 

mlecchasa sthaapito dharmo
mayaa tacchrnu bhuupate
maanasam nirmalam krtva
malam dehe subhaasbham

naiganam apamasthaya
japeta nirmalam param

nyayena satyavacasaa
manasyai kena manavah

dhyayena pujayedisham
suurya-mandala-samsthitam
acaloyam prabhuh sakshat-
athaa suuryacalah sada

 

 

''Le roi a demandé à l'homme qui il était. L'autre a répondu : je suis un fils de l'homme, ministre des non-croyants, ardent dans la recherche de la vérité. Le roi lui a alors demandé : Quelle est votre religion ? L'autre a répondu : Je viens d'un pays où il n'y a plus de vérité et où le mal ne connaît aucune limite. Dans la terre des non-croyants, je suis apparu en tant que Messie. Mais la démone Ihamasi des dasyus s'est manifestée sous une forme terrible ; jai été livré à elle par les non-croyants et fini dans le royaume d'Ihamasi."

 

 

Alors que le roi lui demanda des détails sur sa voie, l'homme répondit : « Ô roi, prêtez votre oreille à la religion que j'ai apportée aux non-croyants, après la purification de l'essence et du corps impur et après avoir cherché le refuge dans les prières du Naigama, l'homme priera l'éternel. Par la justice, la vérité, la méditation et l'unité de l'esprit, l'homme trouvera son chemin vers Isa au centre de la lumière. »

 

Nul doute que jésus, en parlant ainsi, ne parlait pas de lui-même, mais bien du principe divin qui habite chacun.

 

« Dieu unira finalement en lui l'esprit de tous les êtres errants. Ainsi, ô roi, Ihamasi sera détruite et l'image heureuse d'Isa, le donateur du bonheur, restera pour toujours dans nos cœurs ; et je suis appelé Isa-Masih (Jésus le Messie). »

 

Nul doute que ce récit n'est pas une prophétie, mais bien la narration d'une réelle rencontre réécrite selon une terminologie du pays. Jésus ne parla peut-être pas de la démone "Ihamasi", c'est ainsi que ses paroles ont été interprétées par celui qui les a entendues, puis par celui qui les a écrites.

 

 

Toutes les références bibliographiques données dans ce texte peuvent être vérifiées. Ce serait un long travail, mais possible sur internet. Des livres différents, de différents pays et religions, racontent des histoires à propos d'un homme, un sage voyageur qui était Jésus. Son cheminement asiatique a été très largement plus long que les trois années messianiques, au Proche-Orient, qui ont donné naissance au christianisme.

 

 

-Le livre ''urdu Shazada Yuzasaph wo hakim Balauhar '' (Histoire du Prince Yuzasaph et du Philosophe Balauhar) raconte page 131 : ''Parti de cette ville, il (Yuz-Asaf, c'est-à-dire Jésus), visita plusieurs autres villes en prêchant aux gens. Puis, il arriva à la capitale du Cachemire. Alors, il appela tous les gens pour le Royaume de Dieu comme il le fit en Israël. Il resta là, au Cachemire, jusqu'au dernier jour de sa vie. À ce moment, il appela un de ses disciples, qui était connu parmi les gens par le nom de Yabid. Ce disciple avait servi son maître avec beaucoup de dévotion et avait obtenu un haut statut dans la succession spirituelle. Dictant maintenant sa volonté, Yuzasaph (Jésus) dit :

 

 

« Maintenant, en ces derniers moments, mon esprit est prêt à voler vers l'Unité Sacrée. Il est nécessaire pour vous tous de suivre les Commandements de Dieu. Aucun ne devrait aller vers le mensonge en partant de la vérité. Vous devez tous adhérer aux prières (prière silencieuse ou méditation) et vous hâter vers la vérité. »

 

Après avoir dit cela, il rendit son dernier soupir. Chers lecteurs, beaucoup de sagesse est contenue dans cette histoire. Comprenez la sagesse cachée et suivez les enseignements spirituels et moraux si bien que les désirs pour le monde matériel soient détruits dans vos cœurs.

 

-Cette histoire est corroborée par un livre : ''Ain-ul-Hayat de Muhammad Hadi Muhammad Ismail'', volume 2, Chapitre 2, pages 177 à 178.

 

 

 

 

Le manuscrit tibétain ''Grugtha Thams-chand kyi Khuna dan Dod-Thsul Ston-pe Legs Shad Shel-gyi Melong'' contient aussi des informations au sujet de Jésus. Ce document tibétain, écrit par Le-zan Chhes-kyi Nima, était la traduction d'un document chinois ancien appelé "L'histoire des Religions et des Doctrines -Le Miroir De verre-". Voici un passage évocateur :

 

"Yesu, le professeur et fondateur de sa religion, qui était né miraculeusement, s'est proclamé lui-même le Sauveur du monde. Il demandait à ses disciples d'observer les dix vœux (dix Commandements), parmi lesquels il incluait la réalisation de la joie éternelle par les actions justes. Il prêchait que les actions néfastes plongent en enfer, où il y a les tourments éternels, qu'un péché commis en pleine connaissance de cause ne peut pas être pardonné. Ceci est un des vertueux résultats venant des enseignements du bouddha. Cette doctrine ne s'est pas propagée considérablement, mais a survécu en Asie pendant une longue période. L'information ci-dessus est dérivée des traités chinois sur les religions et doctrines."

 

Selon les religieux Böhns (religion tibétaine d'avant le bouddhisme) du Tibet, Esh ou Esses (Jésus), aurait voyagé dans leur pays et en Perse.

 

 

 

 

On dit que Jésus aurait enterré sa compagne dans une ville s'appelant actuellement Mari (Muree en anglais), près de la montagne Pindi-Point, à l'est de Taxila et à l'ouest de Rawalpindi, à la frontière entre le Cachemire et le Pakistan.

 

 

Ce tombeau existe encore, il est appelé le ''Da Asthan de Mai Mari '', c'est-à-dire ''l'endroit du repos final Marie". Il est vénéré depuis longtemps par les musulmans. Il est orienté est-ouest à la manière juive, en dépit du fait qu'il est dans un secteur musulman.

 

Malgré son antiquité ce tombeau ne peut pas être hindou non plus, puisque les Hindous, contemporains de Jésus, incinéraient leurs morts et dispersaient leurs cendres tout comme les Hindous aujourd'hui. Quand les musulmans se sont emparés de ce secteur, au septième siècle, tous les monuments infidèles ont été détruits, mais ils ont identifié cette tombe en tant que relique d'un "peuple du livre", chrétien ou israélite et l'ont respectée.

 

On trouve deux autres "tombes de Marie" dans la région : une à Kashgar, au Ladakh et une dans le Xinjian. Il est possible que cette Marie soit Maryan (Marie-Madeleine/Marie de Magdala), que Jésus avait épousée au Cachemire, selon la tradition du pays.

 

 

 

Au sud du Cachemire, à 40 km de Srinagar, entre les villages de Naugam et de Nilmge il y a la plaine Yuz-Marg (la plaine de Yuz Asaf). Il y a aussi un bâtiment sacré appelé Aish Muqam (repos d'Issa / Jésus), à 60 km au sud-est de Srinagar et à 12 km de Bij Bihara.

 

 

 

 

Dans l'Aish Muqam il y a une relique sacrée appelée le "bâton de Moïse" ou "bâton de Jésus", que la légende locale prétend avoir appartenu à Moïse lui-même. De plus, on dit que Jésus le posséda également, peut-être pour confirmer son héritage messianique.

 

La tombe de Jésus/Yuz-Asaf/Hazrat Isa se trouverait à Srinagar ou elle est encore vénérée. Elle porte le nom de "Rozabal" ce qui est une abréviation de "Rauza-Bal", signifiant le "tombeau du prophète". À l'entrée, il y a une inscription expliquant que Yuz Asaf est enterré avec un autre saint musulman. Tous les deux ont une pierre tombale orientée nord-sud, selon la tradition musulmane. Mais ce sont en fait seulement des couvertures : les tombes réelles sont dans une crypte sous le plancher du bâtiment. Il y a une ouverture minuscule par laquelle on peut examiner la véritable chambre d'enterrement en dessous et on peut voir que le sarcophage, contenant les restes terrestres de Yuz Asaf, est orienté est-ouest selon la coutume juive. Ceci indique que Yuz Asaf n'était ni un saint islamique ni un hindou.

 

Divers livres

nous parlent de ce tombeau

 

Un décret fut émis en 1774, par la Haute Cour du Cachemire, présidée par le Grand Mufti et d'autres juges, qui affirme clairement que Yuzu-Asaph était envoyé comme un prophète aux gens de Cachemire, selon les traditions des Cachemiris :

 

"Maintenant, cette cour, après avoir obtenu l'évidence, conclut ceci : Il a été établi que durant le règne du Raja Gopadatta (Gopananda), qui avait bâti beaucoup de temples et avait réparé, surtout, le Trône de Salomon, sur la colline de Salomon, Yuz-Asaph (Jésus) était venu dans la vallée. Ce prince était pieux et saint. Il dépensait tout son temps dans la prières et la méditation. Les gens du Cachemire, étant devenus idolâtres après la grande inondation de Noé, le Dieu omnipotent leur a envoyé Yuz-Asaph comme un Prophète. Il proclamait l'unicité de Dieu."

 

Yuz-Asaph fut enterré à Khanyar et le sanctuaire est connu sous le nom de Rozabal. Dans l'année 871 de l'Égire. Syed Nasir-ud-Din, un descendant de l'Imam Musa-Raza, fut aussi enterré près de la tombe de Yuz-Asaph.

 

Le Bagh-i-Sulaiman

 

Le Bagh-i-Sulaiman est un ouvrage écrit par Mir Saadullah Shahabadi Kashmiri en 1780. C'est une histoire du Cachemire en persan. Il note que Yuzu Asaph (Jésus, Asaph), était connu au Cachemire comme guide vers la vérité. Il était appelé une "bénédiction" pour les gens de la vallée de Cachemire. Sayyid Nasiruddin Rizvi était un musulman qui s'était consacré à la mémoire de Yuzu Asaf. Pour sa dévotion, il fut enterré près de lui en 1451 dans le RozaBal :

 

"Vertueux Sayyid Nasiruddin ! L'assemblée des croyants lui doit son existence ! Son tombeau est situé à Khanyar à Anzimar. Ce tombeau est remarquable à cause de la tombe éclairée d'un Prophète. Tous ceux qui visitent cet endroit sacré perçoivent un arôme parfumé ! (pour les disciples de La Voie cet indice parle du nectar) Il a été narré qu'un prince vint, abandonnant sa vie matérialiste, et adopta le sentier de la piété et de la vertu. À cause de son obéissance, Dieu l'a élevé au statut de messager. Il guidait les gens vers la vérité et était une bénédiction pour la Vallée (du Cachemire). C'est pour cette raison que son tombeau est célèbre dans tout le pays."

 

C'est drôle, mais il y a une ressemblance entre ce récit et celui de la vie du bouddha historique, Gautama et aussi celui de la vie du maître de Gautama, Mahavira, réformateur du Jaïnisme. Il est écrit, page 34 du Tarikh-i-Kabir Cachemire, publié dans le Suraj Prakash Presse, à Amritsar, Punjab en1902 :

 

" Sayed Nasiruddin Khanyari est très révéré, car il a passé sa vie dans la piété et les prières. Il est enterré dans un sanctuaire célèbre appelé le tombeau du Rozabal. Sa tombe est située au sud de la tombe sacrée d'un prophète. Khawaja Azam Didmari écrit que dans le passé un Prince qui s'absorbait lui-même dans les prières et les piétés atteignit l'état de messager de Dieu et fut envoyé dans ce pays pour enseigner les gens. Son nom était Yuzu-Asaph (Jésus). Après sa mort, il fut enterré ici à Mohala Anzmar près de Khanyar."

 

D'après un manuscrit Arabe, ce Prince était venu en voyageur de Sholapit, au Cachemire et il fut enterré à Anzmar, près de Khanyar et Srinagar. Certains croient que se trouve là le tombeau d'un grand Prophète qui n'est autre que Hazrat Isa-l'esprit de Dieu (Jésus).

 

-Selon le Tarikh-i-Hassan (Vol. 1, p. 377), le Wajees-ut-Tawarikh fut compilé en 1857 par Abdul Nabi Khanyari. Il doit être noté que le Raja Gopananda du Cachemire (49-109) y est mentionné dans ce passage :

 

 

 

"La tombe de Mir Sayid Nasiruddin est à Khanyar. L'endroit est aussi connu sous le nom de Rozabal. Il est dit qu'à cet endroit existe aussi la tombe de Paigambar Yuzu Asaf (Jésus).

 

 

 

 

C'était un prince venu à cet endroit. Grâce à ses prières et sa piété extrême, il fut élevé au statut du Messager de Dieu pour les gens du Cachemire (L'appellation Paigambar signifie messager de Dieu). Il prêchait parmi les gens. Il est dit que le Raja Gopananda gouvernait sur le pays durant cette période."

 

Cependant, certains doutent que Yuz-asaf soit vraiment Jésus. Pour eux, ce nom vient du sanskrit "Bodhisattva" (désignant une sorte de saint bouddhiste à une incarnation de la Libération). Il serait devenu "Bodisaf" en iranien et "Budasaf" ou "Yuzasaf'' en arabe puis "Ioasaph" en grec et "Josaphat" chez les latins. Ainsi le livre bouddhiste de "Balauhar et Budasaf" serait devenu "Bilawhar et Buudaasf", chez les musulmans ismaéliens et "Barlaam et josaphat" en Occident. Mais, Jésus était un éveillé.

 

 

C'est Jean Damascène (650 à 749), le dernier des pères de l'église grecque, qui aurait introduit le nom de Josaphat dans la liste des saints chrétiens. Or, si on regarde bien ce que dit la légende chrétienne de Josaphat (et même certains textes sur Yuz-Asaf), on voit que celui-ci était considéré comme un prince qui avait tout abandonné pour devenir un ascète. Or cette histoire n'est autre que celle de la vie du… bouddha Gautama !

 

 

 

-Note 1 : L'empereur Mogol Akbar, au seizième siècle, avait projeté d'unir l'Inde, sous une religion qui contiendrait la quintessence de toutes les religions existantes. Akbar a choisi une parole de Jésus pour l'inscrire sur le mur de la porte des victoires à la mosquée centrale de la ville qu'il a construite. Cette parole de Jésus est pourtant inconnue en Occident : elle est censée avoir été prononcée par lui en Inde et a été retrouvée sur un morceau de mur parmi les ruines de Fatehpur Sikri, au sud de New-Dehli, à 25 km d'Agra. Cette parole de Jésus est la suivante : ''Le monde est un pont, passe dessus, mais n'y construit pas ta maison. Celui qui espère pendant une heure, espère pour l'éternité. Le monde existe, mais pour une heure passée dans la dévotion, tout le reste n'est rien.''

 

-Note 2 : On remarquera qu'il existe encore actuellement un millier de Suivants d'Issa, fils de Maria (Jésus, fils de Marie) dans quelques villages dispersés dans toute la région occidentale de l'Afghanistan.

 

Ils sont généralement pris pour des musulmans, mais leur chef est Abba Yahiyya (père Jean) et il est capable de réciter la succession des maîtres sur presque soixante générations, en remontant jusqu'à Issa, fils de Mariam de Nasara, le kashmiri ! Leur tradition déclare clairement que Jésus a enseigné en Afghanistan et attiré des personnes, dont les descendants s'appellent ''les suivants d'Issa''.

 

Selon eux "Jésus était un charpentier et également un berger... le livre saint de la communauté est la "Traditions du Masih (messie)". Ils ne croient pas au Nouveau Testament et disent que c'est leur livre qui est le Nouveau Testament, et que les évangiles que nous avons, ne sont que partiellement vrais, mais généralement écrits par les personnes qui n'ont pas compris les enseignements du maître Jésus. Abba Yahiyya était certainement un homme érudit. Il avait entendu parler des enseignements des "hérétiques" comme il appelait les chrétiens d'Occident, et il ne se reconnaissait pas en eux :

 

« Ces personnes ont mal compris le message. Nous possédons l'histoire racontée par le maître (Jésus), et par lui nous serons sauvés et guéris. Certains des événements décrits dans ce document que vous appelez la Bible sont vrais, mais beaucoup sont modifiés ou imaginaires et ont subi des insertions pour des raisons moins que dignes. Isa a vécu plus de trente ans après que les faits de vos livres aient été accomplis, et il nous a expliqué ce qui était vrai. »

 

Brièvement, leur doctrine est que Jésus était un fils de Dieu parce qu'il avait atteint ce rang par sa qualité et ses sacrifices. Ainsi, il était égal à une personne divine. Il est venu après Jean-Baptiste, qui lui-même avait atteint le degré de développement le plus élevé possible à ce moment-là. Jean l'a baptisé avec l'eau, Jésus avec l'esprit et le feu. C'étaient les trois étapes de la compréhension, qui ont été enseignées par nos chrétiens : Le baptême, l'esprit saint et le royaume de Dieu sont trois étapes d'illumination. Cette idée est contraire à la doctrine chrétienne courante qui place Jésus comme intermédiaire entre les êtres humains et la connaissance parfaite de Dieu.

 

Ces Suivants d'Issa ont un repas rituel, comme le dernier dîner de Jésus, mais ceci est effectué une fois par semaine. Du pain et du vin sont consommés, mais comme symboles des nutritions plus brutes et plus fines qui sont les expériences de l'accomplissement de la proximité à Dieu. (Pour les pratiquants de La Voie il s'agit de la méditation profonde, de la béatitude ou Royaume)

 

Ils sont convaincus

que le jour viendra

où le monde découvrira

la vérité sur Jésus

 

Tout ce long et parfois fastidieux exposé pour montrer que les vérités couramment admises le sont toujours en fonction des croyances que nous avons et que nous voulons distiller dans l'esprit des gens. C'est pour la religion comme pour l'histoire : on en écrit les manuels au gré de la pensée politiquement correcte de l'époque.

 

Cette vérité sur Jésus est discutée et le sera toujours malgré les nombreux livres écrits à ce sujet qui recoupent les informations sans que leurs auteurs se soient concerté. Dans ce texte, il y a un certain nombre de références, toutes n'ont pas été citées afin d'alléger le propos, car le but du texte n'est pas de tenter de prouver quoi que ce soit : ce n'est pas une étude universitaire sur l'histoire des religions.

 

Jésus était un éveillé, comme le bouddha Gautama, qui transmettait un message où toutes les religions se retrouvaient ; un message transversal. Comme La Voie sous-entend la voie de la liberté, la voie de l'union, la voie de la connaissance non apprise, la voie du milieu, non pas comme l'entendent les bouddhistes, mais comme : ''La voie qui réunit toutes les voie en passant le fil de la vérité par leur milieu. '', comme on fabrique un collier de fleurs en les réunissant par un fil qui passe au travers de leurs tiges.

 

La Voie est l'héritière directe de la voie de Jésus, l'éveillé, pas le prophète juif des chrétiens. Cette voie était aussi celle de Krishna, de Lao-Tseu, de guru Nanak, cette voie est la Sàmkhya, celle de la connaissance révélée, la shruti ou vijnana. Elle est La Voie de la connaissance non apprise. Le livre "l'évangile de Jésus", donne à lire les paroles de Jésus sans les ajouts de l'église ni les légendes magiques.

 

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e.mail de contact : lavoie.eu@gmail.com

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