English below. Ce livre est la traduction d’une Upanishad : la « Bhagavadgîtopanishad », plus ancienne que le « Mahâbhârata ». C'est la vraie Bhagavad-Gîtâ, d'avoir été réécrite par les hindouistes pour entrer dans leur livre, le « Mahâbhârata ».
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Bhagavadgîtopanishad
La vraie Bhagavad-Gîtâ d'avant le Mahâbhârata
commentaires de sri Hans Yoganand ji
Ce livre est maintenant complet, vous pouvez le lire
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Ce livre est une #Upanishad plus ancienne que le « #Mahâbhârata ». Le mot #sanskrit « Upanishad » signifie : « Venir s'asseoir respectueusement aux pieds du maître pour écouter son enseignement », ce qui correspond au #satsang.
« Upanishad » signifie aussi : « audition », « oreille », « connaissance révélée » ou « #Veda » (en sanskrit). Dans cette Upanishad, il est très souvent question du « #Dharma », comme Siddhartha, le buddha historique, entendait ce mot.
Les « Upanishad » prolongent les « #VedaSamits ». On dénombre plus de cent Upanishad différentes, dont dix principales. Les Upanishad majeures sont les plus anciennes, on les pense écrites entre huit cents et cinq cents ans avant notre ère.
Plus tard, un #arya, connu comme le buddha (éveillé) Gautama #Siddhartha, enseigna la voie du « Dharma ». À la même époque, un buddha chinois, #LaoTseu, nomma cet enseignement, cette voie spirituelle (#màrga) : « Tao ». #Tao signifie : « La Voie » et désigne le chemin (la #sadhana ou Dharma) et le but : le #Tout.
La « Bhagavadgîtopanishad » est le recueil des paroles attribuées à un #éveillé, ou buddha, dont le nom a été oublié. Il s’agit d’une écriture du #védisme premier, à ne pas confondre avec les écritures #hindouistes. Le védisme premier existait bien avant l’#hindouisme.
Ce védisme fut apporté dans les bagages des aryas, depuis la #Bactriane, région historique d'Asie centrale située entre les montagnes de l'Hindou Kouch et le fleuve Amou-Daria, aujourd'hui partagée entre l'Afghanistan, le Tadjikistan, l'Ouzbékistan et les plateaux nord de ce qui est aujourd’hui l’Iran.
Ces aryas, arrivés dans ce qui est devenu le #Cachemire, reçurent la mystique des anciens peuples de la civilisation #harappéenne disparue, qu’ils assimilèrent à leur propre #mystique. Il est possible que les pratiques originelles, destinées à connaître l’état de « #yoga » ou de #paix intérieure, aient leurs racines dans cette civilisation de l’#Indus. Le yoga originel remonterait à plus ou moins huit mille ans.
L'éveillé qui enseignait la mystique de l’upanishad dont il est question ici, était un homme autochtone, sombre de peau, comme les #dravidiens, ou les peuples #Mundas et #Adivasis actuels. Les aryas, eux, étaient clairs de peau.
Comme ce maître était « noir », de type #dravidien, ils le surnommèrent « #krishna », ce qui signifie « le sombre » ou « le noir » en sanskrit, on pourrait même dire : « le nègre ». Le mot nègre vient du latin « #niger » et signifie : « noir ». Dans les védas originels, ceux des aryas, toutes sortes de gens étaient ainsi surnommés, hommes comme femmes, parce qu'ils étaient sombres de peau.
Krishna n’est donc pas un nom propre, celui d’une personne particulière, pas plus que le mot : « buddha », qui signifie « éveillé », n’était le nom d’une personne. Ces deux mots sont des adjectifs qualificatifs.
Ce livre évoque la même #connaissance que le #TaoTeKing, le #Dhammapada, le #YogaSûtra, l'#Évangile, le #Bhaktimàrga et autres ouvrages de cette nature, comme le Guru Granth Sahib, par exemple.
Il ne s'agit pas de #syncrétisme, comme le disent parfois certaines personnes pour discréditer La Voie. S'il existe une #vérité fondamentale, les livres qui en parlent évoquent obligatoirement la même vérité.
Parce que ces livres ont été rédigés à des époques différentes, en des contrées différentes et dans des langues différentes, parce qu'ils ont été traduits par des linguistes ignorant tout des pratiques que ces livres évoquent, on pense qu'ils décrivent des enseignements différents.
Pourtant, en lisant bien et en traduisant ces livres en un langage commun, en connaissant cette mystique par la pratique, on remarque leurs similitudes.
Si vous avez des questions, posez-les ici : lavoie.eu@gmail.com
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Bhagavadgîtopanishad
The Real Bhagavad-Gîtâ Before the Mahâbhârata
Commented by sri Hans Yoganand ji
This book is now complete, you can read it
and/or download it for free by clicking on this link:
This book is an #Upanishad older than the #Mahâbhârata. The Sanskrit word “Upanishad” means “to sit respectfully at the feet of the master to listen to his teaching ”, which corresponds to satsang.
“Upanishad” also means ‘hearing’, ‘ear’, ‘revealed knowledge’ or ‘#Veda’ (in Sanskrit). In this Upanishad, the word “#Dharma”, as Siddhartha, the historical Buddha, understood it, is often used.
The Upanishads are an extension of the Veda-Samits. There are over a hundred different Upanishads, including ten major ones. The major Upanishads are the oldest, thought to have been written between 800 and 500 BC.
Later, an arya, known as the buddha (#awakened) Gautama #Siddhartha, taught the path of “Dharma”. At the same time, a Chinese buddha, #LaoTzu, named this teaching, this spiritual path (màrga): “Tao”. #Tao means “The Path” and designates the way (#sadhana or Dharma) and the goal: the #Whole.
The “Bhagavadgîtopanishad” is a collection of sayings attributed to an awakened one, or buddha, whose name has been forgotten. It is an early Vedic scripture, not to be confused with #Hindu scriptures. Early Vedism existed long before #Hinduism.
This Vedism was brought in the baggage of the aryas from #Bactria, the historic region of Central Asia between the Hindu Kush mountains and the Amu Darya river, today divided between Afghanistan, Tajikistan, Uzbekistan and the northern plateaus of what is now Iran.
These aryas, arriving in what is now #Kashmir, received the #mysticism of the ancient peoples of the vanished #Harappean civilization, which they assimilated into their own mysticism. It is possible that the original practices, designed to achieve a state of “#yoga” or inner #peace, had their roots in this Indus civilization. #Originalyoga is said to date back some eight thousand years.
The awakened one who taught the upanishad mysticism we're talking about here was a dark-skinned native man, like the #Dravidians, or today's #Mundas and #Adivasis. The aryas, on the other hand, were light-skinned.
As this master was “black”, of the Dravidian type, they nicknamed him “krishna”, which means “the dark one” or “the black one” in Sanskrit, or even “the negro”. The word negro comes from the Latin “niger” and means “black”. In the original Vedas, those of the aryas, all kinds of people were so called, men and women alike, because they were dark-skinned.
Krishna is therefore not a proper name, that of a particular person, any more than the word “buddha”, meaning “awakened”, was the name of a person. Both words are qualifying adjectives.
This book evokes the same #knowledge as the #TaoTeKing, the #Dhammapada, the #YogaSutra, the #Gospel, the #Bhaktimàrga and other works of this nature, such as Guru Granth Sahib, for example.
It's not a question of #syncretism, as some people sometimes say to discredit #ThePath. If there is a fundamental #truth, the books that speak of it necessarily evoke the same truth.
Because these books were written at different times, in different places and in different languages, because they were translated by linguists who knew nothing about the practices they evoke, we think they describe different teachings.
However, if you read these books carefully and translate them into a common language, if you know this mysticism through practice, you will notice their similarities.
If you have any questions, you can ask them here: lavoie.eu@gmail.com
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