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English below. Parmi les techniques de méditation de La Voie, il en est une ; celle dite du « Saint-Nom » qui est très semblable, dans l’esprit, à cette prière silencieuse dont nous parle le moine dominicain Jean-Marie Gueulette.

texte de sri hans Yoganand ji sur la spiritualité, La Voie, Jésus, la prière et la méditation.
Jésus s'isolait toujours pour prier... Pourquoi ?

 

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Comment Jésus priait

 

Sur La voie notre pratique repose sur quatre piliers. Un de ces piliers est la méditation « formelle ». J’écris formelle parce qu’un des piliers, le service, est une forme de méditation en action, c’est-à-dire qu’il est possible de la pratiquer tout en vaquant à ses occupations habituelles. La méditation formelle est une méditation sans rien faire d’autre. La Voie a quatre techniques différentes de méditation (qui ne sont pas les piliers). Certaines peuvent se pratiquer tout en faisant à peu près tout, la vaisselle, le ménage, en conduisant une automobile, dans une salle d’attente, etc. Personne ne remarquera que vous méditez : ça ne se voit pas de l’extérieur. D’autres de ces techniques ne peuvent se pratiquer qu’assis et loin du regard des autres. Pour recevoir ces techniques il faut les demander.

 

Parmi ces techniques qui peuvent être pratiquées n’importe où il y a celle dite du « Saint-Nom ». Elle est très semblable, dans l’esprit, à cette prière silencieuse dont nous parle le moine dominicain Jean-Marie Gueulette, dont l’interview est reproduit plus bas. La technique du Saint-Nom fait penser à cette prière silencieuse à ceci près que sur La Voie il n’est pas question d’un nom que nous pouvons dire, écrire et auquel il nous est possible de penser. Malgré ce que sa dénomination ; « Saint-Nom » ou « Verbe » ou encore « Parole », il ne s’agit pas d’un son que l’on peut écrire pas plus que dire. Je ne puis être plus précis, l’explication est donnée au cours de la Révélation.

 

Cette technique de méditation, que nous pratiquons en méditation formelle et dans le service, c’est-à-dire tout au long de la journée, Jésus la connaissait, nous en sommes absolument convaincus. Cette conviction vient de la lecture des évangiles. Quand on connaît cette technique on la reconnaît dans les textes, que ce soit les évangiles, le Tao-Te-King, le Bhaktimàrga, le yogasûtra ou la Bhagavad-Gîtâ (Le chant de l'éveillé) malgré les ajouts qui ont été faits aux évangiles et à la Bhagavad-Gîtâ.

 

Jésus connaissait les techniques de méditation de La Voie, nous en sommes convaincus. Il les avait apprises en Inde, dans le Cashmere, c’est-à-dire le Pakistan actuel. Jésus les pratiquait lorsqu’il allait s’isoler, la nuit. A part cette différence, tout ce qu’a écrit ce moine dominicain est essentiellement similaire à l’enseignement de La Voie. La phrase qui suit est tirée de ses écrits :

 

« …cette pratique qui remonte aux origines du christianisme consiste à s’asseoir et désirer Dieu en répétant intérieurement son nom. » (Jean-Marie Gueulette) Cette citation en dit plus qu’elle n’en a l’air. Le christianisme n’est pas la seule religion dont l’origine est la pratique que La Voie enseigne et qui est devenue autre chose, au fur et à mesure que les concepts ont pris la place de la vérité, faute de parole vivante. La vraie prière n’est expliquée par aucun livre, seul un guide vivant la transmet au cours du « baptême dans l’esprit Saint et dans le feux » (Luc 3:16).

 

Dans les spiritualités asiatiques, indiennes il s’est passé la même chose avec le bouddhisme, le védisme, le taoïsme, le yoga (raja, karma, bhakti, jnana, etc) le sikhisme, le jaïnisme, les enseignements de Krishna. « Le guide est un être humain incarné en même temps que celui qui le suit. » (Bhaktimàrga 3-1-3)

 

Les moines pratiquant la prière silencieuse décrite par le texte ci-après, comme les moines bouddhistes pratiquant la respiration consciente, la récitation des mantras, les yogis s’exerçant au prànàyàma et les moines taoïstes sont de belles personnes qui affinent leur conscience. Voici, en suivant, un article publié sur « www.lavie.fr » sur la prière silencieuse. C’est ce qui reste de plus ressemblant à cette prière que le Christ pratiquait, selon nous.

 

Début de l’article : « On l’appelle parfois prière monologiste (sur un unique mot), prière du silence intérieur  ou « oraison de simple regard ». Simple et dépouillée, cette pratique qui remonte aux origines du christianisme consiste à « s’asseoir et désirer Dieu » en répétant intérieurement son nom. Depuis plus de dix ans, le dominicain Jean-Marie Gueulette en transmet les fondements dans des sessions. Il publie chez Albin Michel un Petit Traité de la prière silencieuse.

 

-(le journaliste) Comment aborder cette façon de se recentrer sur Dieu ?

 

-(J.M.G) La présence de Dieu, en nous, est au-delà de toute sensation. La prière silencieuse est un acte de foi. Il s’agit de choisir de désirer Dieu, de recentrer inlassablement sa volonté et son amour sur Lui, de faire comme Lui : nous donner entièrement, nous tenir présents. Cette pratique n’est ni un monologue avec nous-même, ni une méditation sur des valeurs : elle est adressée à quelqu’un ! À Dieu, dont nous sommes le temple. Pour une fois, nous sommes attentifs à sa présence. Nous le rejoignons en nous.

 

-(le journaliste) Vous consacrez plusieurs pages à décrire les différentes postures adaptées à cette pratique. Pourquoi ?

 

-(J.M.G) Il est toujours tentant de regarder la relation à Dieu comme quelque chose de compliqué pour mieux y renoncer. Au lieu de reconnaître qu’on ne sait pas se tenir immobile, on a vite fait d’inventer des discours pour se convaincre qu’on n’est pas contemplatif ou qu’on est un grand pêcheur… alors que, parfois, c’est juste un problème de lombaires ! Trouver la position qui convient et se tourner vers la présence de Dieu de tout son être : ce programme peut sembler pauvre. Encore faut-il s’en donner les moyens. Pour y arriver, la façon de se tenir, la forme du tabouret ou la hauteur de la chaise qu’on utilise sont déterminants. Les chrétiens ne sont pas spontanément réceptifs à un discours associant corps et prière. Mais quand ils acceptent de tenter l’expérience, ils sont stupéfaits de ce qu’ils sont capables de faire.

 

-(le journaliste) A quoi « sert » le support du nom de Dieu ?

 

-(J.M.G) Cette façon de prier existe depuis les débuts du christianisme : la répétition intérieure d’un nom de Dieu* aide à se recentrer sur Sa présence. L’idée est de choisir celui par lequel on s’adresse habituellement à Dieu dans la prière. Encore une fois, on ne peut réduire Dieu à nos perceptions. On ne choisira donc pas une idée sur Dieu ou un qualificatif. Car, si je dis amour ou justice, je suis dans l’emprise, j’impose mon prisme. Or, Dieu est au-delà de ce que je peux dire de Lui. Cette répétition aide à fixer l’attention, mais il faut y mettre une intention : celle de se tourner vers quelqu’un. Le nom nous permet un accès plus rapide à notre temple intérieur, lieu de silence où Dieu réside.

 

* La répétition intérieure d’un nom de Dieu* : Là où le moine se trompe c'est que ce « nom de Dieu » n'est pas un mot que l'on peut écrire, lire, pas plus que dire. Il s'agit de ce que, sur La Voie, nous désignons par le mot « Saint-Nom ». Ce Saint-Nom, on ne peut pas le répéter, il se « dit » seul, en nous, et se répète de la naissance à la mort, il suffit de savoir comment l'écouter et l'écouter. Dans un livre indien, le Yogasûtra, il est dit : « Tat japah tadarthabhavanam », souvent traduit par : « « La répétition du nom de Dieu dévoile sa signification et sa nature essentielle ». La juste traduction est : « La méditation sur ce son qui se répète est la méditation sur Dieu ».

 

-(le journaliste) Cette prière silencieuse est-elle faite pour tout le monde ?

 

-(J.M.G) De nombreuses personnes la pratiquent spontanément sans savoir qu’elle relève d’une longue tradition. Elle n’est pas forcément adaptée à tout le monde, mais elle est accessible à tous ! Ça n’est ni la « meilleure », ni la seule façon de prier, c’est d’ailleurs la richesse de l’Église d’avoir permis une telle diversité d’expressions spirituelles, mais sa simplicité parle à de nombreux croyants. Elle est exigeante, sans être compliquée. Selon votre état intérieur, vous prononcerez sans doute le nom de Dieu avec des nuances de joie, d’angoisse, de colère. Le silence, le dépouillement, le fait qu’il n’y ait pas besoin de se raconter rencontrent une demande.

 

-(le journaliste) Certains milieux chrétiens y sont-ils plus sensibles que d’autres ?

 

-(J.M.G) Les acteurs de la pastorale de la santé, par exemple, accueillent cette forme de prière avec un naturel incroyable. J’ai vécu une expérience très forte avec trois cent visiteurs d’hôpitaux ou de maisons de retraite. Le silence est immédiatement descendu dans la salle et en quelques minutes à peine, chacun avait trouvé sa posture. Ces bénévoles font chaque jour l’expérience de la gratuité et du calme donné. Être assis au chevet d’un malade et lui tenir la main : ça n’est en rien « efficace », mais c’est une présence essentielle. Ils ont compris spontanément cette façon de prier. »

 

Interruption de l’article : Cette prière est très semblable à notre méditation sur le « Saint-Nom » ou « Verbe », sinon par la technique au moins par la posture intérieure. Suivent les extraits de l’article qui ont le plus de similitudes avec l’enseignement de La Voie et l’expérience de bien de ses pratiquants. Reprise de l’article :

 

« S’asseoir et désirer Dieu. » (Jean-Marie Gueulette).

 

« Il s’agit de choisir de désirer Dieu, de recentrer inlassablement sa volonté et son amour sur Lui. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« Nous donner entièrement, nous tenir présents. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« À Dieu, dont nous sommes le temple. Pour une fois, nous sommes attentifs à sa présence. Nous le rejoignons en nous. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« Il est toujours tentant de regarder la relation à Dieu comme quelque chose de compliqué pour mieux y renoncer. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« Au lieu de reconnaître qu’on ne sait pas se tenir immobile, on a vite fait d’inventer des discours pour se convaincre qu’on n’est pas contemplatif ou qu’on est un grand pêcheur. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« Trouver la position qui convient et se tourner vers la présence de Dieu de tout son être. » (Jean-Marie Gueulette)

 

« Cette répétition aide à fixer l’attention, mais il faut y mettre une intention : celle de se tourner vers quelqu’un. Le nom nous permet un accès plus rapide à notre temple intérieur, lieu de silence où Dieu réside. » (Jean-Marie Gueulette). Fin de l’article.

 

Un aphorisme du Yogasûtra (un des classiques de la littérature spirituelle originaire des Indes) dit la même chose que : « Trouver la position qui convient et se tourner vers la présence de Dieu de tout son être » : « Avoir une posture stable et confortable en méditation, garder son attention posée sur la respiration, rester concentré, ne pas bouger. » (Yogasûtra 2:29). Un autre texte parle bien de ça, de cette concordance d’enseignements spirituels qui semblent différents mais sont semblables en fait, ici : « Méditation et respiration »

 

 

Si vous avez des questions, posez-les ici : lavoie.eu@gmail.com

 

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How Jesus prayed

 

On The Path, our practice rests on four pillars. One of these pillars is "formal" meditation. I write "formal" because one of the pillars, service, is a form of meditation in action, meaning it can be practiced while going about one's daily activities. Formal meditation is meditation where you do nothing else. The Path includes four different meditation techniques (which are not the pillars). Some of these can be practiced while doing almost anything, like washing dishes, cleaning, driving a car, or waiting in a waiting room. No one will notice you're meditating; it's not visible from the outside. Other techniques can only be practiced while sitting and away from the gaze of others. To receive these techniques, you must ask for them.

 

Among the techniques that can be practiced anywhere, there is one called the "Holy Name." It is very similar, in spirit, to the silent prayer described by the Dominican monk Jean-Marie Gueulette, whose interview is reproduced below. The Holy Name technique resembles this silent prayer, except that on The Path, it's not about a name that we can say, write, or think about. Despite its designation as "Holy Name", it's not a sound that can be written or spoken. I cannot be more specific; the explanation is given during the Revelation.

 

This meditation technique, which we practice in formal meditation and in service, that is, throughout the day, was known by Jesus; we are absolutely convinced of this. This conviction comes from reading the Gospels. When you know this technique, you recognize it in the texts, whether it's the Gospels, the Tao Te Ching, Bhaktimarga, the Yogasutra, or the Bhagavad Gita (The Song of the Awakened), despite the additions that have been made to the Gospels and the Bhagavad Gita.

 

Jesus knew the meditation techniques of The Path; we are convinced of this. He learned them in India, in Kashmir, now part of Pakistan. Jesus practiced these when he went off alone at night. Apart from this difference, everything this Dominican monk has written is essentially similar to the teaching of The Path. The following sentence is from his writings:

 

"...this practice, dating back to the origins of Christianity, consists of sitting down and desiring God by repeating His name internally." (Jean-Marie Gueulette). This quote says more than it appears to. Christianity is not the only religion whose origin is the practice taught by The Path, which has become something else as concepts took the place of truth, due to the lack of living word. True prayer is not explained by any book; only a living guide transmits it during the "baptism with the Holy Spirit and fire" (Luke 3:16).

 

In Asian and Indian spiritualities, the same has happened with Buddhism, Vedism, Taoism, Yoga (raja, karma, bhakti, jnana, etc.), Sikhism, Jainism, and Krishna's teachings. "The guide is a human being incarnated at the same time as the one who follows." (Bhaktimarga 3-1-3)

 

Monks practicing the silent prayer described in the text below, like Buddhist monks practicing mindful breathing, mantra recitation, yogis practicing pranayama, and Taoist monks, are beautiful people refining their consciousness. Here follows an article published on "www.lavie.fr" about silent prayer. This is what most resembles the prayer Christ practiced, according to us.

 

Beginning of the article: "Sometimes called monological prayer (on a single word), inner silence prayer or 'simple gaze prayer'. Simple and stripped down, this practice, which dates back to the origins of Christianity, involves 'sitting down and desiring God' by repeating His name internally. For over ten years, the Dominican Jean-Marie Gueulette has been teaching its foundations in sessions. He published a 'Small Treatise on Silent Prayer' with Albin Michel.

 

-(journalist) How do you approach this way of focusing on God?

 

-(J.M.G) The presence of God within us is beyond all sensation. Silent prayer is an act of faith. It involves choosing to desire God, to tirelessly refocus one's will and love on Him, to act like Him: giving oneself entirely, being present. This practice is neither a monologue with oneself nor a meditation on values: it is addressed to someone! To God, of whom we are the temple. For once, we are attentive to His presence. We meet Him within ourselves.

 

-(journalist) You devote several pages to describing different postures suitable for this practice. Why?

 

-(J.M.G) It's always tempting to view the relationship with God as something complicated to better abandon it. Instead of acknowledging that one doesn't know how to stay still, one quickly invents arguments to convince oneself that one isn't contemplative or is a great sinner... when sometimes, it's just a matter of lower back issues! Finding the right position and turning oneself towards God's presence with all one's being: this program might seem poor. But one must give oneself the means. To achieve this, the way one sits, the shape of the stool or the height of the chair used are crucial. Christians are not instinctively receptive to a discourse linking body and prayer. But when they agree to try the experience, they are amazed at what they can do.

 

-(journalist) What is the role of the name of God as a support?

 

-(J.M.G) This way of praying has existed since the beginning of Christianity: the internal repetition of a name of God helps to focus on His presence. The idea is to choose the name by which one usually addresses God in prayer. Once again, we cannot reduce God to our perceptions. Thus, we won't choose an idea about God or a qualifier. Because if I say love or justice, I'm imposing my perspective, my filter. However, God is beyond what I can say about Him. This repetition helps to focus attention, but it must be done with an intention: that of turning towards someone. The name allows for quicker access to our inner temple, the place of silence where God resides.

 

The internal repetition of a name of God: Here is where the monk is mistaken; this "name of God" is not a word we can write, read, or speak. It's what, on The Path, we refer to as the "Holy Name." This Holy Name cannot be repeated; it "says" itself within us, repeating from birth to death, one just needs to know how to listen and listen to it. In an Indian book, the Yogasutra, it is said: "Tat japah tadarthabhavanam," often translated as: "The repetition of God's name reveals its meaning and essential nature." The correct translation is: "Meditation on this sound that repeats is meditation on God."

 

-(journalist) Is this silent prayer for everyone?

 

-(J.M.G) Many people practice it spontaneously without knowing it's part of a long tradition. It's not necessarily suited to everyone, but it's accessible to all! It's neither the "best" nor the only way to pray; in fact, the richness of the Church has been in allowing such a diversity of spiritual expressions, but its simplicity speaks to many believers. It's demanding, without being complicated. Depending on your inner state, you will likely pronounce God's name with nuances of joy, anxiety, or anger. The silence, the simplicity, the fact that there's no need for storytelling meet a demand.

 

-(journalist) Are some Christian circles more sensitive to this than others?

 

-(J.M.G) Health pastoral workers, for instance, welcome this form of prayer with incredible naturalness. I had a very strong experience with three hundred hospital or nursing home visitors. Silence immediately descended in the room, and in just a few minutes, everyone had found their posture. These volunteers experience the gift of calmness and gratuity every day. Sitting at a sick person's bedside and holding their hand: this isn't "effective" in any way, but it's an essential presence. They spontaneously understood this way of praying.

 

End of the article: This prayer is very similar to our meditation on the "Holy Name" or "Word," if not in technique, at least in inner posture. Here are the excerpts from the article that bear the most resemblance to the teaching of The Path and the experience of many of its practitioners.

 

Resumption of the article:

 

"Sit down and desire God." (Jean-Marie Gueulette).

 

"It involves choosing to desire God, to tirelessly refocus one's will and love on Him." (Jean-Marie Gueulette)

 

"Giving oneself entirely, being present." (Jean-Marie Gueulette)

 

"To God, of whom we are the temple. For once, we are attentive to His presence. We meet Him within ourselves." (Jean-Marie Gueulette)

 

"It's always tempting to view the relationship with God as something complicated to better abandon it." (Jean-Marie Gueulette)

 

"Instead of acknowledging that one doesn't know how to stay still, one quickly invents arguments to convince oneself that one isn't contemplative or is a great sinner." (Jean-Marie Gueulette)

 

"Finding the right position and turning oneself towards God's presence with all one's being." (Jean-Marie Gueulette)

 

"This repetition helps to focus attention, but it must be done with an intention: that of turning towards someone. The name allows for quicker access to our inner temple, the place of silence where God resides." (Jean-Marie Gueulette). End of the article.


An aphorism from the Yogasutra (one of the classics of spiritual literature originating from India) says the same thing as: "Finding the right position and turning oneself towards God's presence with all one's being": "Have a stable and comfortable posture in meditation, keep your attention on the breath, stay focused, do not move." (Yogasutra 2:29). Another text speaks well of this, of this concordance of spiritual teachings that seem different but are actually similar, here: "Meditation and Breathing".

 

 

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