Maintenant le guide de La Voie est désigné par le mot « animateur ». En effet, le mot guru est très mal connoté en France, où un gourou est un mégalomane pervers, intéressé, un obsédé sexuel, à cause d'escrocs mégalomanes et pervers qui ont défrayé la chronique dans le passé.

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Avis à la population
Maintenant le guide de La Voie est désigné par le mot « animateur ». En effet, le mot guru est très mal connoté en France, où il s'écrit souvent gourou. Ce mot signifie : « Celui qui chasse les ténèbres de l'ignorance par la lumière de la connaissance. » En France, un gourou est un mégalomane pervers (pervers narcissique), intéressé, un obsédé sexuel.
Cette mauvaise réputation à cause d'escrocs mégalomanes et pervers qui ont défrayé la chronique dans le passé. Les médias ont traité ces affaires comme si les mauvais penchants, des délinquants incriminés dans ces scandales, étaient dus au fait qu'ils étaient gurus ou comme si un guru était forcément un escroc pervers.
Cette réputation du guru va avec celle de la secte, synonyme de groupuscule manipulateur. En vérité, la secte, partout ailleurs dans le monde, n'a pas cette connotation péjorative, mais son sens véritable de groupe spirituel minoritaire dont les membres partagent la même pratique. Le fameux Bouddha avait une secte qui, à l'époque, se nommait une sangha.
Le mot maître a, lui aussi, une connotation péjorative. Un maître est un enseignant et il ne viendrait à l'idée de personne de traiter un maître de conférence, à l'université, de mégalomane empli d'ego. Un maître d'école a droit au plus grand respect et à la sympathie de tout le monde, ce qui n'est que justice. Alors, pourquoi cette mauvaise réputation des maîtres spirituels ?
En vérité, ce n'est que les maîtres vivants qui ont cette mauvaise réputation. Les maîtres spirituels morts et/ou ascensionnés (ne me demandez pas ce que cela signifie) ne souffrent pas d'une telle réputation. Ils ne peuvent pas contrarier le disciple dans ses certitudes, on leur fait dire ce qu'on veut.
Les maîtres vivants n'ont pas le droit de dire qu'ils sont des maîtres spirituels, car un règlement, reconnu tacitement par presque tout le monde, le lui interdit : « si un maître spirituel dit qu'il est un maître spirituel, c’est qu'il n'en est pas un et qu'il est plein d'ego ». C'est comme pour un éveillé : il ne doit pas dire qu'il est éveillé, sinon il ne l'est pas. Les maîtres spirituels et les éveillés doivent se plier à ce règlement qui vient d'on ne sait pas où.
Beaucoup de personnes voient le maître spirituel, le guru comme doué de sens particuliers, de pouvoirs paranormaux. Ainsi, un être humain contemporain, maître spirituel, se voit suspecté de sous-entendre qu'il est doué de superpouvoirs. Qui a dit qu'un éveillé, qu'un maître spirituel, qu'un guide était doué de pouvoirs ? Les concepts spirituels de beaucoup et certains livres spirituels, à cause d'erreurs de traduction très répandues.
Le mot guide fait encore élitiste et il est d'un emploi difficile. Sur La Voie, dorénavant, dans les textes et les satsang publiés, il y aura un « animateur », l'animateur de La Voie, ce qui ne change rien à rien, mais ce qui évitera des polémiques inutiles. Ceux que cette polémique ne concerne pas pourront toujours considérer l'animateur de La Voie comme guru ou maître spirituel. Maintenant, si on me demande qui je suis, par rapport à La Voie, je pourrai dire : « Je suis son animateur », ce n'est pas classe ?!
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